Un alpiniste québécois raconte une glorieuse histoire de m*rde alors qu’il grimpe l’Everest


Frédéric Guindon (Le Sac de Chips)
Le Québécois Charles Page est parvenu au sommet du monde le 21 mai dernier.
Mais avant d’atteindre le 8848e des 8848 mètres du mont Everest, l’alpiniste drummondvillois est passé par toute la gamme des émotions.
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Et cela inclut la partie «mauvaises nouvelles brunes» de la gamme des émotions...
En effet, dans une séquence publiée sur TikTok par le vidéaste de haute montagne Mathis Dumas, on peut entendre Page raconter comment il s’y est pris pour résister, pendant l’ascension vers le camp 2, à une terrible envie de déféquer.
Divulgâcheur: l’anecdote qui dure 6 minutes comprend les expressions «se vider le cul», «Emergency Toilet» et «Coup de 12».
@mathis_dumas La video intégral de ce goat de Charles Page 🤣🤣 #charlespage #canada #kaizen #cascades #emergencytoilet #everest ♬ son original - Mathis Dumas
En à peine un jour, cette anecdote scatologique a récolté presque 5 millions de visionnements... sur TikTok seulement.
Il est important de spécifier qu’on peut voir et entendre la même soir dans le film documentaire KAIZEN: 1 an pour gravir l'Everest ! du populaire YouTubeur français Inoxtag.
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Sur YouTube, celui qui a accueilli le Québécois dans son équipe en cours de route a déjà cumulé plus de 22 millions de vues sur son film qui raconte toute la préparation en vue de son périple dans l’Himalaya ainsi que son ascension.
[Ça arrive à 1:49:34]
Il y a quelques jours, Charles Page avait expliqué sur Facebook dans quelles circonstances il avait rencontré Inoxtag et comment ils ont cheminé ensemble.
Lorsque j’ai atteint le sommet de l’Everest, j’étais avec le youtubeur INOXTAG. Maintenant que le film est sorti, je...
Publié par Entre mer et montagnes - Charles Page, Aventurier sur Samedi 14 septembre 2024
Dans son message, Page fait référence au fait qu’il a dû rapidement adapter son niveau de langage afin de bien se faire comprendre par ses nouveaux amis.
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C’est ce qui explique cet accent particulier (ponctué d’une quantité phénoménale de «mec») qu’il emprunte lorsqu’il détaille son récit.
Nous, on trouve qu’il parle un peu comme le Roi Heenok, et ça nous fait encore plus rire.