Kate Middleton: sa vie après son traitement contre le cancer
La future reine britannique s'est ouverte sur son propre parcours contre le cancer et sur les difficultés à se remettre d'une chimiothérapie.
Isabelle Hontebeyrie
Kate Middleton, la princesse de Galles, s'est rendue à l'hôpital de Colchester, dans l'Essex, en Angleterre, le 2 juillet. Au cours de sa visite, l'épouse du prince William a visité le jardin du bien-être de l'hôpital, spécialement conçu comme espace de repos pour les patients, le personnel du NHS et les visiteurs. À cette occasion, la future reine britannique s'est ouverte sur son propre parcours contre le cancer et sur les difficultés à se remettre d'une chimiothérapie.
• À lire aussi: Les Wales et les Sussex: deux couples que tout oppose désormais
• À lire aussi: Catherine Middleton appelle à renouer avec la nature
• À lire aussi: Le frère de Kate Middleton fait de rares confidences sur le cancer de sa sœur
«On fait preuve de courage et de stoïcisme tout au long du traitement, a-t-elle confié. Une fois le traitement terminé, on se dit que l'on peut reprendre le cours normal de sa vie, mais en réalité, la phase qui suit est vraiment très difficile. Vous n'êtes plus nécessairement sous la responsabilité de l'équipe clinique, mais vous n'êtes plus en mesure de fonctionner normalement à la maison comme vous en aviez peut-être l'habitude. Et avoir quelqu'un qui vous aide à vous en sortir, vous montre la voie à suivre et vous guide dans cette sorte de phase qui vient après le traitement est une chose vraiment précieuse.»
La princesse de 43 ans considère ainsi que pouvoir se confier à une personne lors du processus de guérison peut véritablement «changer la vie» des patients et de leurs familles.
Catherine Middleton a révélé son diagnostic de cancer au public en mars 2024, justifiant son éloignement de ses devoirs royaux prévus tout le reste de l'année. Puis, en septembre dernier , la princesse de Galles a confirmé qu'elle avait terminé son traitement contre le cancer, avant de révéler quatre mois plus tard, en janvier, qu'elle était en rémission.
Lors de sa visite à l'hôpital, la princesse de Galles a planté des roses Catherine, une variété nommée en son honneur par la Royal Horticultural Society.

Voici d'autres nouvelles royales qui ont retenu notre attention cette semaine:
Willem-Alexander célèbre 40 ans de passion pour le pilotage
Le roi des Pays-Bas n’est pas seulement un chef d’État, c’est aussi un passionné d’aviation. Ce 2 juillet 2025 marque les 40 ans de l’obtention de sa première licence de vol, un anniversaire que la maison royale a célébré en partageant une photo d’archives du jeune prince à ses débuts dans les airs. Sur l’image, datée de 1985, Willem-Alexander, alors âgé de 18 ans, serre la main de son inspecteur après avoir réussi son examen de pilote privé, sous le regard de son grand-père, le prince Bernhard. Un moment marquant, prélude à une passion qui ne l’a jamais quitté.
Depuis, le souverain a poursuivi sa formation jusqu’à devenir pilote invité pour la compagnie KLM, où il a notamment piloté des Fokker 70 et des Boeing 737. Il lui arrive, encore aujourd’hui, de prendre place dans le cockpit, y compris à bord de l’avion gouvernemental, en toute discrétion. Ce n’est qu’une fois l’avion posé que les passagers découvrent parfois, à leur grande surprise, l’identité de leur copilote royal.
Willem-Alexander n’est pas le seul, parmi les têtes couronnées, à nourrir un amour pour l’aviation. Le roi Philippe de Belgique a été formé au pilotage militaire dans les années 1980, tandis que les princes William et Harry ont tous deux obtenu leurs brevets de pilotes d’hélicoptère au Royaume-Uni. Une passion partagée dans les hautes sphères royales... et à haute altitude.
Henri du Luxembourg: Dernières célébrations
Lors des célébrations de la fête nationale luxembourgeoise (Te Deum), le grand-duc Henri et la grande-duchesse Maria Teresa n’ont pu cacher leur émotion. Se tenant la main, le couple a fait une dernière fois son entrée dans la cathédrale Notre-Dame de Luxembourg puisque, en juin 2024, le grand-duc du pays européen avait annoncé qu’il cédait la couronne à son fils aîné, le prince Guillaume. Son abdication est prévue le 3 octobre 2025, date qu’il a annoncée l’an dernier lors de son discours traditionnel de fin d’année, la veille de Noël. Le prince Guillaume, 43 ans, a reconnu qu’il était stressé et qu’il pensait à ses nouvelles responsabilités avec une certaine appréhension, mais se dit prêt pour l’avenir.
Emmanuel de Belgique: Derrière les platines
N’ayant ni rôle officiel ni dotation royale, le prince Emmanuel, troisième dans l’ordre de succession au trône de Belgique et fils cadet du roi Philippe et de la reine Mathilde, trace son propre chemin sous l’œil attentif des responsables du protocole royal. Car, après avoir suivi une formation de footballeur professionnel à Saragosse, en Espagne, le cadet de 19 ans devient DJ sous le pseudonyme Vyntrix. Derrière un masque de ski, un bandana et des lunettes noires, le jeune prince se produit pour l’instant de manière presque anonyme. Deux titres sont déjà disponibles en ligne: Rio, sorti à la mi-juin, et Palace, dévoilé le 24 juin dernier et qui a déjà attiré des milliers d’écoutes sur les réseaux sociaux. Passionné de musique depuis toujours, Emmanuel est également saxophoniste et pianiste, un talent qu’il avait d’ailleurs partagé lors du concert de Noël du Palais royal en 2020. Encouragé par son entourage et ses amis, le prince DJ ne se produit pour l’instant que lors d’événements privés, soigneusement triés sur le volet.
Ingrid Alexandra et Sverre Magnus unissent leurs voix
À l’approche du coup d’envoi de l’Euro féminin 2025, la famille royale norvégienne s’est mobilisée pour encourager son équipe nationale. Dans une vidéo publiée le 2 juillet sur les réseaux sociaux, la princesse Ingrid Alexandra et son frère, le prince Sverre Magnus, ont adressé un message de soutien aux joueuses norvégiennes. Apparaissant côte à côte, un drapeau norvégien en main, les enfants du prince héritier Haakon témoignent d’un enthousiasme communicatif. «Chère équipe nationale, bonne chance pour le Championnat d’Europe», déclare d’abord le prince Sverre Magnus. Sa sœur prend ensuite la parole, sous le regard complice de son cadet: «Bonne chance pour le match d’ouverture aujourd’hui! Nous avons hâte de suivre votre parcours!» Le duo conclut dans un même élan: «Heia Norge!» Un soutien symbolique qui est arrivé le jour même du match d’ouverture du tournoi, qui se tient cette année en Suisse. Pour cette première rencontre, la Norvège affrontait le pays hôte au Parc Saint-Jacques de Bâle. Un match que les Norvégiennes ont remporté au compte de 2 à 1.
Grand passionné de football, Sverre Magnus suit de près le parcours des joueuses norvégiennes. Le 11 juin dernier, il a foulé la pelouse du domaine royal de Skaugum lors du traditionnel tournoi organisé en présence de son père. Très investi dans le jeu, le jeune prince de 19 ans n’avait pas hésité à faire preuve d’audace, écopant même d’un carton jaune dans l’espoir de mener son équipe à la victoire. Un enthousiasme qui ne se limite pas au terrain: ces dernières semaines, il a été aperçu dans plusieurs stades, tantôt auprès de sa mère, la princesse Mette-Marit, tantôt aux côtés de son grand-père, le roi Harald V.