Blake Lively répond aux accusations de chantage sur Taylor Swift

Blake Lively qualifie d'«incendiaire» l'allégation de Justin Baldoni selon laquelle ses avocats auraient essayé de faire chanter son amie Taylor Swift.

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Le feuilleton se poursuit dans la guerre judiciaire que se livrent Blake Lively et Justin Baldoni. Cette fois, l'équipe juridique de l'acteur et réalisateur a affirmé devant le juge que l'ancienne star de la série Gossip Girl avait utilisé le chantage pour faire pression sur son amie Taylor Swift afin que celle-ci envoie un message de soutien en sa faveur. Or le juge n'a pas suivi les avocats de Justin Baldoni sur ce chemin. Bien au contraire! 

«Il a fallu moins de 24 heures à la cour pour voir clair dans les accusations non pertinentes, inappropriées et incendiaires de M. Freedman, les annuler, les écarter de la cour et avertir M. Freedman que toute nouvelle inconduite pourrait être sanctionnée», a déclaré l'équipe juridique de Blake Lively dans un communiqué.

Bryan Freedman, l'avocat de Justin Baldoni, a affirmé avoir été informé par une source proche de Taylor Swift qui, selon lui, «a de fortes chances d'avoir des informations fiables», que les avocats de Blake Lively avaient contacté Taylor Swift pour lui demander de poster un message de soutien sur ses réseaux sociaux. L'avocat de Justin Baldoni a soutenu que celui de Blake Lively «a demandé, au nom de M^me Lively, que Taylor Swift fasse une déclaration sur les réseaux sociaux pour soutenir M^me Lively étant donné qu'elle était au Super Bowl cette année-là, et a déclaré que si M^me Swift ne le faisait pas, M^me Lively publierait “10 ans” de textos privés avec M^me Swift». Toutefois, le juge chargé de l'affaire Lively/Baldoni a rejeté les allégations de M^e Freedman, les déclarant «diffamatoires».

«L'intention apparente de M. Freedman est de diffuser dans la presse des allégations scandaleuses et diffamatoires concernant M^me Lively et l'avocat de la partie adverse, en abusant du rôle de la cour», a déclaré le juge dans sa réponse. En colère, il a ajouté que tout «recours abusif futur» à la cour «pourrait faire l'objet de sanctions».

Blake Lively et Justin Baldoni ont porté plainte l'un contre l'autre après le tournage du film It Ends With Us, la comédienne accusant le réalisateur et acteur de harcèlement sexuel, et lui, de diffamation.

Voici d'autres nouvelles qui ont retenu notre attention cette semaine:

Bridgerton: Que de bonnes nouvelles!

La diffusion de la quatrième saison tant attendue vient d’être confirmée pour le début de l’année 2026, et deux autres nouvelles viennent d’être communiquées sur les réseaux sociaux par la narratrice de l’intrigue, Lady Whistledown: «C’est avec un plaisir non dissimulé que je vous annonce que Bridgerton reviendra non seulement pour une cinquième saison, mais également pour une sixième saison.» Les premières saisons sont disponibles sur Netflix.

Brooklyn Beckham reçoit le soutien du prince Harry

Brooklyn Beckham et Nicola Peltz auraient participé à une «réunion intime» avec le prince Harry et Meghan, la duchesse de Sussex, au début du mois. Le 14 mai, The Sun a rapporté qu'ils avaient été invités à un dîner privé organisé par les membres de la famille royale dans leur manoir de Montecito, en Californie. Une source a déclaré au journal qu'à cette occasion, le prince Harry aurait offert son «soutien indéfectible» à Brooklyn Beckham, car lui-même avait «vécu des situations familiales similaires» au cours des dernières années. Ce soutien ferait-il écho aux rumeurs de brouille familiale qui circulent depuis que Brooklyn Beckham et son épouse, l'actrice Nicola Peltz, n'ont assisté à aucune des célébrations du 50^e anniversaire de David Beckham. Toutefois, une autre source a déclaré à People que Brooklyn Beckham (26 ans) et Nicola Peltz (30 ans) avaient été invités au dîner chez les Sussex avant la prétendue rupture familiale. «Bien qu'il s'agisse d'une réunion intime, il y avait plusieurs autres invités, y compris des VIP et des cadres de cinéma. Brooklyn et Nicola ont passé un moment merveilleux et ont trouvé Harry et Meghan particulièrement gentils, attentionnés et généreux», a confié l'informateur anonyme à la publication.

Ni les attachés de presse de Brooklyn Beckham et Nicola Peltz ni ceux de David et Victoria Beckham n'ont commenté les spéculations de fâcherie. Il n'empêche: la rumeur s'étend et Closer voit même dans l'invitation des Sussex un «coup de couteau dans le dos», alors qu'entre eux et le couple David et Victoria Beckham les relations se seraient refroidies. Il est vrai que le prince Harry est familier avec les tensions familiales. Et il a ouvertement parlé de celles qu'il a connues avec son père, le roi Charles III, et son frère, le prince William, depuis qu'il s'est retiré de la fonction royale et qu'il s'est installé aux États-Unis avec son épouse, Meghan, en 2020.

Juliette Binoche lance un cri du cœur

Le Festival de Cannes a démarré le 13 mai avec une cérémonie hautement politique, marquée par un hommage à une photojournaliste palestinienne tuée, rendu par Juliette Binoche. La présidente du jury de cette édition, qui remettra la prestigieuse Palme d’or, a exprimé sa tristesse face à la mort de la photographe de Gaza Fatima Hassouna, devant un parterre de célébrités. Hassouna, 25 ans, a été tuée le mois dernier dans une frappe aérienne israélienne, avec sa famille, un jour après que le documentaire qui lui est consacré a été sélectionné pour être présenté à Cannes. «Elle aurait dû être ici ce soir avec nous », a déclaré une Binoche émue, ajoutant que «dans chaque région du monde, les artistes luttent chaque jour et transforment la résistance en art». Elle a aussi brièvement évoqué les otages israéliens pris par le groupe palestinien Hamas lors de son attaque contre Israël le 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre à Gaza. À la veille du festival, plus de 380 personnalités du monde du cinéma, dont l’acteur de La liste de Schindler Ralph Fiennes et d’anciens lauréats cannois, ont exprimé leur honte face au silence de leur industrie sur le siège israélien de Gaza. «Nous ne pouvons pas rester silencieux pendant qu’un génocide a lieu à Gaza», déclarait une lettre initiée par plusieurs groupes militants propalestiniens, publiée dans le journal français Libération et le magazine américain Variety. Parmi les signataires figuraient des stars hollywoodiennes comme Richard Gere et Susan Sarandon, le réalisateur espagnol Pedro Almodóvar, ainsi que d’anciens lauréats cannois Ruben Östlund, Mike Leigh, Justine Triet et Costa-Gavras — tous dénonçant également la mort de Hassouna.

Robert De Niro s’en prend à Trump

Robert De Niro était l’invité d’honneur de la cérémonie d’ouverture du Festival de Cannes, recevant une Palme d’or d’honneur pour sa contribution au cinéma, remise par son collègue Leonardo DiCaprio. L’acteur de 81 ans est l’un des critiques les plus virulents de Trump dans le milieu du cinéma américain. La star de Taxi Driver n’a pas mâché ses mots envers le président des États-Unis, déclarant: «Dans mon pays, nous nous battons comme des damnés pour la démocratie contre un président philistin.» De Niro a vivement critiqué les projets de Trump visant à imposer des tarifs douaniers de 100 % sur les films produits à l’étranger, comme annoncé par le leader républicain le 5 mai. «On ne peut pas mettre un prix sur la créativité. Mais apparemment, on peut y mettre une taxe, a lancé De Niro. Bien sûr, toutes ces attaques sont inacceptables. Ce n’est pas seulement un problème américain, c’est un problème mondial.» La proposition de Trump a fait l’effet d’un choc dans le monde du cinéma, même si peu d’experts comprennent comment une telle mesure pourrait être mise en œuvre.