Valérie Plante candidate numéro 1 pour la chefferie du NPD?

La démission de Jagmeet Singh à la suite de l’effondrement du vote de NPD laisse le poste de chef de la formation vacant et ce n’est nulle autre que Valérie Plante qui serait la candidate de choix de plusieurs membres de la formation politique pour prendre les rênes de leur parti, selon Thomas Mulcair.

• À lire aussi: Élections fédérales 2025: Jagmeet Singh démissionne après l’effondrement du vote du NPD

• À lire aussi: Voici tous les détails de la soirée des élections fédérales 2025

• À lire aussi: Revirements, candidats vedettes et défaites inattendues: voici les résultats de 11 luttes importantes des élections fédérales 2025

«Lorsque je parle avec les gens les plus expérimentés au NPD, le nom qui revient le plus souvent, c'est Valérie Plante. Je n'ai jamais parlé moi-même à la principale intéressée. Tout ce que je rapporte, et je peux rapporter honnêtement, c'est que les gens au NPD rêvent d'avoir Valérie Plante», a mentionné l’ancien chef du NPD, lors de l’émission La Joute.

Valérie Plante a déjà annoncé qu’elle ne se représenterait pas aux prochaines élections municipales qui auront lieu le 2 novembre 2025.

«Je pense qu'elle pensait aller à l'international. Et, selon d'autres informations que j'ai eues, elle cherche encore quelque chose à l'international», indique Thomas Mulcair.

L’ancienne première ministre de l’Alberta, Rachel Notley, ferait aussi partie des noms qui circulent pour remplacer Jagmeet Singh, mais M. Mulcair trouve une telle candidature improbable.

• Regardez aussi ce podcast vidéo tiré de l'émission de Mario Dumont, diffusée sur les plateformes QUB et simultanément sur le 99.5 FM Montréal :

«Je ne pense pas qu'elle parle un mot de français. Donc, si le NPD veut continuer à se présenter comme un parti national, c'est difficile de voir comment on peut avoir une cheffe qui ne parle pas un mot de français», clame le jouteur.

Don Davies, l’actuel député néodémocrate de Vancouver Kingsway, en Colombie-Britannique, pourrait aussi être un candidat crédible, estime Thomas Mulcair.

«C'est un gars aimé. [...] Don est un gars super calme, expérimenté, très respecté, pas de doctrinaire pour cinq cennes et qui pourrait être un genre de peacemaker pour faire un pont entre l'ancien et le nouveau», soutient-il.

Pour voir le segment complet, visionnez la vidéo ci-haut.