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L'article provient de Le Journal de Montréal
Sports

Vaincus en deuxième prolongation face aux Panthers, la défaite est difficile à avaler pour les Oilers

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Photo portrait de Jonathan Bernier

Jonathan Bernier

2025-06-07T07:08:49Z
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EDMONTON | Dans le vestiaire des Oilers, on avait la mine plutôt déconfite après ce revers crève-cœur subi en deuxième période de prolongation.

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« On a perdu un peu nos jambes. On n’était plus capable de récupérer la rondelle aussi rapidement, a analysé Leon Draisaitl. On savait qu’ils auraient leurs poussées. Il y a certaines choses qu’il faudra corriger. »

Lorsque Corey Perry a créé l’égalité, avec 18 secondes à écouler à la troisième période, on avait confiance de pouvoir prendre les devants deux victoires à zéro dans la série.

Getty Images via AFP
Getty Images via AFP

« C’est une défaite difficile à avaler. Mais, en même temps, on sait que ce n’est pas censé être facile, a déclaré Perry, auteur de son huitième but de la série. Ils ont travaillé fort, ils ont eu leurs occasions de marquer et ils ont su profiter de celle-là. C’est ce qui a fait la différence. »

Aller de l’avant

La série se transporte maintenant en Floride après que ses deux premiers matchs aient connu leur dénouement plus tard que lors des 60 minutes réglementaires. C’est dire comment la ligne est mince entre la victoire et la défaite.

« Ce sont deux excellentes équipes qui s’affrontent. C’est rapide, c’est rythmé, il y a de beaux jeux des deux côtés et de beaux arrêts de la part des deux gardiens. C’est normal, c’est la finale de la coupe Stanley », a mentionné Perry.

Cette une défaite dure sur le moral, mais en finale de la coupe Stanley, la pire erreur serait de la ruminer trop longtemps. Perry qui dispute la sixième ronde ultime de sa carrière en sait quelque chose.

« Qu’on ressasse tout ça dans notre tête, ça ne nous apportera rien. Ça ne changera pas l’issue du match. On va monter dans l’avion, récupérer et se préparer pour le troisième match. »

Un état d’esprit qui a rejoint celui de Draisaitl.

« Ce n’est pas le temps de s’apitoyer sur notre sort. Il faut aller de l’avant», a-t-il martelé.

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