Meurtres et santé mentale : d’autres «bombes à retardement» à travers le Québec?
TVA Nouvelles
Le suspect des meurtres commis à Montréal et Laval cette semaine était possiblement une «bombe à retardement» en raison de ses problèmes de santé mentale, mais il ne serait pas le seul, selon une psychiatre.
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En entrevue à TVA Nouvelles, Dre Marie-Frédérique Allard a admis que ses collègues et elle suivent régulièrement des individus qui pourraient rapidement devenir dangereux pour leur communauté.
«On a tous des patients qu’on sait qu’ils peuvent représenter une dangerosité», clame-t-elle.
Cette dernière note que plusieurs éléments, dont la consommation de drogue et d’alcool, peuvent faire en sorte qu’un patient perde le contrôle et commette l’irréparable.
«Il peut y avoir un facteur très imprévisible. Même si le patient est suivi de façon très serrée, (...) ça peut chavirer en peu de temps», explique la Dre Allard.
Pour voir l’entrevue complète, visionnez la vidéo ci-haut.