La mystérieuse affaire des masques de plomb
Équipe Salut Bonjour
En août 1966, le Morro de Vintém, à Niterói, au Brésil, devient le théâtre d’un mystère insoluble : deux hommes sont retrouvés morts, côte à côte, portant d’étranges masques de plomb artisanaux.
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Identifiés comme Victor Miguel José Viana et Manuel Pereira da Cruz, ces techniciens en électronique sont en parfaite santé et vêtus d’imperméables jaunes par-dessus leur costume-cravate.
La légence racontée par Christian Page
Dans leurs poches, des formules codées et des instructions détaillées indiquent la prise de capsules à heures fixes et l’usage des masques de plomb. Pourtant, les autopsies révèlent aucune trace de poison ni de violence : les deux hommes sont morts d’une crise cardiaque foudroyante, trois jours avant leur découverte.
L’affaire prend une tournure encore plus étrange lorsqu’un homme mystérieux, tout de noir vêtu, tente de prélever leur matière cérébrale à la morgue, offrant une liasse de billets. Refusé, il disparaît à jamais.
Rapidement, des théories circulent sur le lien des victimes avec la secte des « spirites scientifiques », et leur supposé contact avec des entités d’une autre dimension. Les capsules et les masques de plomb pourraient avoir été utilisés pour un rituel occulte ou une expérience secrète, mais rien n’est confirmé. Certains témoins rapportent avoir vu une lumière étrange dans le ciel la veille du drame, alimentant le mystère.
En octobre 1969, la police de Rio de Janeiro classe l’affaire des masques de plomb sans conclusion. Depuis, ce mystère du Brésil intrigue chercheurs, amateurs de phénomènes inexpliqués et passionnés d’énigmes historiques.
L’affaire des masques de plomb 1966 reste un exemple frappant de mystère non résolu, mêlant science, superstition et tragédie, et continue d’alimenter les discussions sur les phénomènes étranges dans le monde entier.
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