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L'article provient de Le Journal de Montréal
Sports

«J’étais content pour Carey» -Paul Byron

Les partisans du Canadien ont fait la vague au Centre Bell, vendredi soir. Une clameur qui est venue saluer le retour du gardien Carey Price après une absence de neuf mois.
Les partisans du Canadien ont fait la vague au Centre Bell, vendredi soir. Une clameur qui est venue saluer le retour du gardien Carey Price après une absence de neuf mois. Photo Martin Chevalier
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Photo portrait de Jonathan Bernier

Jonathan Bernier

2022-04-16T02:58:54Z
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En raison du retour de Carey Price, il régnait une ambiance qu’on n’avait pas ressentie depuis longtemps à l’intérieur de l’amphithéâtre. Tel qu’on pouvait s’y attendre, cette énergie a transporté les joueurs du Canadien.

« On a senti l’énergie dès le départ. Même avant l’échauffement. En arrivant à l’aréna, il y avait du monde à l’extérieur qui attendait pour voir Carey. C’est dommage qu’on n’ait pas été capable de marquer pour lui. »

–Nick Suzuki

« J’avais des papillons dans le ventre. J’étais tellement content pour lui. Il a travaillé tellement fort pour revenir au jeu. C’était incroyable de voir les partisans lui donner autant d’amour. »

–Paul Byron


La présence de Carey Price a quelque chose d’apaisant pour ses coéquipiers. Il y avait belle lurette que ceux-ci ne s’étaient pas sentis aussi à l’aise de se porter en attaque.

« C’est la troisième année que je joue avec lui. Il est un modèle pour les jeunes, une légende de la LNH. Avoir l’occasion de jouer avec lui, c’est très spécial pour moi. C’est la même chose pour tous les gars dans l’équipe. Quand il est dans le filet, tout le monde devient plus calme. »

–Nick Suzuki


S’il y en a un qui comprend par où Price est passé, c’est bien Paul Byron. Au cours des dernières saisons, l’Ontarien n’a pas été épargné par les blessures. En 2019-2020, il a raté 42 matchs en raison d’une opération à un genou.

« C’est extrêmement difficile. Tant physiquement que mentalement. C’est difficile d’approcher les jours un à la fois quand la réadaptation ne va pas comme tu veux. Tu te sens mal de voir l’équipe perdre et de ne pas pouvoir l’aider. »

–Paul Byron

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