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Culture

Jean-Philippe Dion raconte sa journée inoubliable dans la cuisine «MasterChef Québec»

«MasterChef Québec» du lundi au mercredi à 19h30 et le dimanche à 20h30, à TVA et sur TVA+

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Marjolaine Simard

2025-09-15T01:35:00Z
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Ce dimanche, Jean-Philippe Dion a plongé avec enthousiasme dans la frénésie de la cuisine de MasterChef Québec en tant que juge invité. Pour cette deuxième semaine, les candidats devaient préparer un plat capable d’embarquer les juges dans leur plus grand rêve — un thème cher à l’animateur, pour qui le rêve a toujours été un moteur essentiel. Il nous raconte son expérience électrisante au cœur de l’arène culinaire.

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«C’était la première fois que je mettais les pieds dans le studio de MasterChef Québec et, wow! Voir cette fameuse cuisine et toute l’installation, et passer un moment aussi intense avec Martin Picard et Stefano Faita, c’était impressionnant! Mais le plus fou, c’est d'observer toute l’équipe derrière, ceux qui ramassent et lavent entre chaque défi. Ça bouge dans tous les sens, une vraie fourmilière. Je fais de la télé, mais là, c’était un autre univers pour moi. Et puis la chaleur! Avec tous les fours et les cuisinières en marche, il fait chaud, ça sent la bouffe... on vit vraiment quelque chose!»

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Le juge invité a été plus que surpris par le niveau de talent des participants. «Je n’en reviens pas encore de ce qu’ils arrivent à faire dans cet espace-temps. Moi, je peux ouvrir un livre de recettes un samedi matin et cuisiner à mon rythme pour le souper du soir. C'est mon projet de la journée. Eux, ils ont plein de plats à préparer dans leur journée, ça va vite. Ça m’a vraiment impressionné!»

Dans cette émission d'élimination du dimanche, les rêves des candidats devaient se refléter dans leur assiette «J’ai adoré le mur des rêves, où chacun partageait le sien avant de le cuisiner. Ce thème me collait tellement à la peau, puisque j’ai aidé des artistes, des Académiciens, à Star Académie, à réaliser les leurs et, moi aussi, j’en ai accompli bien plus que je n’aurais cru dans ma vie. C'était d'ailleurs génial de voir l'Académicienne Mia Tinayre venir les encourager.»

«On sentait bien l'excitation. En plus, c’était trop mignon, parce qu’une participante était une grande fan de La vraie nature. Rencontrer ces gens et voir à quel point ça leur faisait plaisir de me voir, c’était vraiment touchant. Sinon, le rêve de Tammy de faire des trips de bouffe partout dans le monde, c’est vraiment venu me chercher, parce que je choisis mes destinations selon la gastronomie du lieu. Avec mon copain, on se demande toujours si un voyage nous permettra de bien manger. Au Costa Rica, par exemple, j’ai carrément choisi l’hébergement en fonction des restos, pour qu’on puisse y aller à pied. Notre fils hallucine de voir à quel point la bouffe prend une énorme place dans notre vie. Mon rêve gastronomique ultime? Partir au Vietnam et goûter à toutes ses saveurs.»

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Jean-Philippe nous confie avoir vraiment passé une super journée, bien que le rôle de juge puisse être difficile à endosser. «J’en ai parlé à Charles Lafortune. Tu veux commenter les plats honnêtement, être franc et clair... mais en même temps, t’es qui, toi, pour juger? Eux courent contre la montre pendant que toi, tu es assis à goûter. Ça me brisait le cœur de devoir critiquer tout en sachant qu’il fallait donner un vrai avis.»

Après cette aventure, Jean-Philippe a un petit conseil à donner aux futurs juges «Ne bookez pas un souper après. La dégustation a duré des heures et j’avais un souper après... impossible de manger. J’avais déjà englouti l’équivalent de huit repas. C’était tellement bon! Guillaume St-Arnaud, le réalisateur — le même que pour Sortez-moi d’ici! —, n’arrêtait pas de me dire: “Jean-Philippe, tu n’es pas obligé de tout manger, fais juste goûter!” Mais je ne pouvais pas laisser partir des plats pareils ni gaspiller de la nourriture. Il finissait presque par m’arracher l’assiette tellement je prenais mon temps à tout finir.»

La passion pour la gastronomie est une véritable histoire de famille pour Jean-Philippe Dion, dont les proches sont de vrais gourmands. «Mon fils de 15 ans découvre à son tour la gastronomie. C’est une passion qui se transmet dans la famille et que j’ai moi-même héritée de mes parents. Quand j’étais petit, notre grand loisir, c’était d’aller manger. Le dimanche, avec mes parents et ma sœur, on allait souvent souper dans un nouveau resto. Je suis originaire de Granby et on essayait les bonnes adresses des environs. Pour mes parents, c’était important qu’on explore et qu’on développe notre vocabulaire culinaire. Aujourd’hui encore, nous sommes de grands gourmands. À chaque anniversaire, on en profite pour découvrir une nouvelle table. Ma mère cuisinait super bien et ma sœur est encore meilleure que moi... mais je me débrouille! Un de mes rêves, ce serait d’être Sébastien Benoit et d’animer Coups de food, avec des contacts dans tous les meilleurs restos du Québec. Parfois, je lui écris quand je me promène: «Hey, je suis à Québec, où je devrais manger?» Franchement, il n’y a pas meilleur gourmand que lui. Et moi, j’ai des listes infinies de restos où je veux absolument aller.

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