«Indéfendable»: Un cas d'incitation à la violence occupe les avocats

Léo a fermé les yeux sur ses problèmes. Il a atteint sa limite et se retrouve hospitalisé. Pendant qu’au cabinet, on s’occupe de deux procès, au service de police, l’enquêteur Chevrier s’inquiète d’une vague de suicides chez les jeunes.

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Depuis que Léo est sorti de prison, il travaille beaucoup et essaie de reprendre une vie normale. Mais ce qu’il a vécu a laissé des traces: «On le voit depuis quelques épisodes, Léo ne va pas bien. Dans la semaine précédente, il a fait une crise et a été forcé de sortir de la salle d’audience avant de s’écrouler. Lorsque débute cette nouvelle semaine, Léo est à l’hôpital. Il devient impératif qu'il prenne soin de lui et on verra qu’enfin, il se rend compte de la gravité de la situation. Il acceptera de recevoir des soins et d’entreprendre une thérapie», explique Marc Bisaillon. Tout au long de la semaine, nous suivrons ainsi l’évolution de la prise en charge de Léo par des professionnels. «Le stress, les traumatismes, ça ne se guérit pas en un jour. Il y aura d’ici la fin de l’automne des bonnes et des moins bonnes journées», ajoute le script-éditeur de la série.

Une histoire de violence

Le procès de Farah Dumont se poursuit en début de semaine. Il y a eu plusieurs revirements de situation et éléments surprenants dans ce dossier, ce qui fait en sorte qu’il est impossible de prédire de quel côté penchera la balance de la justice. Quel verdict obtiendra-t-elle? Un autre procès débutera à la fin de la semaine. Il est en lien avec l’histoire d’Eddy Rivard et de sa mère, Valérie. «Eddy est un jeune joueur de hockey qui s’est battu dans le stationnement après un match intense. L’autre garçon avec qui il s’est battu est très amoché et il a décidé de porter plainte pour voies de fait. Les policiers veulent rencontrer Eddy pour obtenir sa version des faits, mais il ne veut pas se rendre au poste de police. Il comprendra qu’il n’a pas le choix. En rencontrant les policiers, il donnera une version étonnante de l’histoire. Eddy accusera sa mère en disant que c’est elle qui l’incite à la violence», explique Marc Bisaillon.

C’est Kim qui prend ce dossier en charge. Cette cause nous permettra de voir à quelles conséquences s'expose quiconque incite un autre individu à commettre un acte de violence. «Ce sera super intéressant de voir les responsabilités de chacun dans une cause comme celle-là. Parfois, les gens n’y pensent pas, mais nos gestes et nos paroles peuvent avoir des conséquences...» Pour Valérie, la mère d’Eddy, les répercussions seront désastreuses. Bien qu’elle affirme ne pas être responsable du geste posé par son fils, un témoin rapporte des choses troublantes, qui semblent confirmer que la mère de famille pourrait effectivement avoir encouragé son fils à la violence. Pour l’aider dans cette cause, Kim demande à Claude d’enquêter comme elle sait si bien le faire. Ce faisant, Claude revoit un ancien ami, un détective privé avec qui elle a travaillé dans le passé. Grâce à cet homme, nous aurons accès à une partie du passé de Claude.

Vague de suicides

Un autre gros dossier est au centre des intrigues de cette semaine. L’enquêteur Chevrier sonne l’alarme quand le Québec est touché par une vague de suicides chez les jeunes. «Il y a eu trois victimes et il pourrait y en avoir d’autres. Dans un premier temps, le gros du travail de l’enquêteur Chevrier sera d’essayer de trouver des liens entre les victimes et de comprendre comment chacune a pu en arriver là. C’est un dossier très sensible...» insiste Marc Bisaillon.

Un événement malheureux qui survient au cours de la semaine aura pour effet d’apporter de nouvelles informations pertinentes au dossier. L’enquêteur Chevrier n’a pas encore toutes les réponses, mais il s’intéresse soudainement à un individu qui aurait vraisemblablement des liens avec les jeunes victimes.

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