«Antigang»: des policiers d'élite en action

Cinq sergents-détectives, sous les ordres du lieutenant Christian Thibeault, forment l’escouade spéciale mixte Antigang, qui fait la lutte au crime organisé. Dès le départ, un événement imprévu vient déstabiliser l’équipe.

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L’autrice Nadine Bismuth se lance dans une nouvelle aventure d’écriture, en compagnie de Luc Dionne à la script-édition. Elle nous invite à à découvrir les intrigues de sa nouvelle série Antigang. «L'Antigang, c’est une escouade mixte, formée de policiers venus de différents milieux — le SPGM, la GRC, etc. Ces policiers ont choisi de faire partie de l’escouade. Pour être accepté dans l’équipe, il faut avoir un très bon dossier; à l’Antigang, on trouve les meilleurs parmi les meilleurs. C’est essentiel, car il faut pouvoir leur faire confiance en toutes circonstances», explique Nadine Bismuth.

L’équipe

Le lieutenant Christian Thibeault dirige l’escouade Antigang. «C’est un bon leader. Il a l’air sévère, mais il fait bien les choses et amène son équipe à se dépasser. Il défend ses troupes et les soutient», mentionne l’autrice.

Chaque membre de l’escouade a sa place et, outre le lieutenant Thibeault, ils sont sur un pied d’égalité.

Jean-François Bégin ressort tout de même un peu du lot. C’est un leader naturel, et ses collègues ont tendance à se tourner vers lui s’ils ont des questions ou s’ils hésitent sur la conduite à adopter lors d’une intervention.

Philippe Parizeau, un ancien de la GRC, est un spécialiste des renseignements. Aucune information ne lui échappe et il est très habile à monter des dossiers, ce qui facilite le travail de ses collègues.

De son côté, Frédéric Nadeau est un sergent-détective dévoué à son travail tout en ayant une vie de famille bien remplie. «Il a une fille de 20 ans qui étudie en droit à l’université et il a une nouvelle blonde. Sa vie de famille prend de la place dans la série», souligne Nadine Bismuth.

L’escouade Antigang compte également sur le talent et le professionnalisme de Mathilde Lapierre, une fille avec un bon sens de l’humour, et ceux de Caroline Daigneault, qui jongle entre son travail et son rôle de mère.

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L’autre monde

Les premiers épisodes de la série nous permettent également de faire connaissance avec les grands criminels que les membres de l’escouade Antigang ont dans leur mire. Le mandat de l’unité est de faire tomber les têtes dirigeantes des organisations criminelles, ce qui peut prendre des semaines, des mois, ou même des années.

La vie de ces malfaiteurs ne se résume pas à commettre des crimes: ils ont des conjoints et des familles. Dans cet univers, Denys Marchand, le chef du groupe de motards Death Shadows, et Fanny Boutin, sa conjointe, propriétaire d’un salon de coiffure, sont des gens influents. Le premier est un homme dangereux que l’escouade Antigang aimerait arrêter, et la seconde, qui reçoit les confidences de tout le monde, connaît bien des secrets.

Outre les motards criminalisés, l’escouade s’intéresse aussi aux mafias et aux gangs qui mettent la population en péril et menacent l’ordre établi. Parmi eux, il y a des luttes internes, des guerres de territoires et des ego démesurés qui cherchent à étendre leur puissance, provoquant des conflits entre groupes ennemis.

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Soubresauts

Dès les premiers épisodes, la vie de plusieurs personnages est secouée lorsqu’un événement inattendu survient. «Ils sont déstabilisés et font face à de nouveaux défis professionnels et personnels», révèle Nadine Bismuth.

Une heure chaque soir du 8 au 11 septembre

La série Antigang sera présentée dans un format de 30 minutes. Pour lancer la saison, les quatre premiers épisodes auront toutefois une durée de 60 minutes, de 19 h à 20 h.