Une comparaison entre Miller et Pettersson qui fait très mal aux Canucks

Depuis la transaction envoyant J.T. Miller aux Rangers de New York, où les Canucks de Vancouver ont semblé trancher entre lui et Elias Pettersson, ça ne va pas du tout pour celui qui est resté en Colombie-Britannique. 

Avec 12 points en 10 matchs avec les Blueshirts, Miller connaît d’excellents moments, ce qui permet aux siens de croire encore aux séries éliminatoires. En fait, depuis le 1er février, il a plus de buts (6) que Pettersson... a de tirs (5).

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Inutile de rappeler que le Suédois n’a que deux points durant cette séquence marquée par cinq revers en neuf rencontres des Canucks. Le joueur de centre de 26 ans a 35 points à sa fiche, ce qui est bien loin de sa récolte de 89 de l’an dernier.

Miller a lui aussi de grands souliers à chausser après ses 103 points de 2023-2024. Il s’approche néanmoins du rythme d’un point par partie avec 47 en 50.

Il a également relancé Mika Zibanejad et les deux forment un duo prolifique pour les Rangers depuis la pause de la Confrontation des 4 nations.

«C’est agréable de pouvoir contribuer. [Zibanejad] joue bien. En plus, avec [Will] Cuylle ou [Brett] Berard parfois, je joue avec de très bons joueurs. Ils me font bien paraître», a indiqué Miller après ses deux points dans une victoire de 4 à 0 sur les Predators de Nashville, dimanche.

La transaction a mis fin à une étrange saga de plusieurs semaines sur fond de mésentente entre Miller et Pettersson. Le président des Canucks, Jim Rutherford, avait confirmé l’existence du conflit dans le vestiaire, même si les protagonistes avaient longtemps nié.

Vancouver a choisi la jeunesse de Pettersson (26 ans) devant l’expérience de Miller. Le cinquième choix au total du repêchage de 2017 devra se ressaisir puisque son salaire annuel moyen de 11,6 millions $ jusqu’en 2032 pourrait faire mal à son équipe.