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L'article provient de TVA Sports
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Un record et des affinités avec Martin Lapointe pour William Horcoff

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Photo portrait de Nicolas Cloutier

Nicolas Cloutier

2025-06-07T19:57:38Z
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William Horcoff ne prend pas les tests physiques à la légère. La progéniture de Shawn, ancien capitaine des Oilers d’Edmonton, s’était entraînée intensivement dans le dernier mois pour abattre le record établi par E.J. Emery l’an dernier au saut horizontal.

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L’athlète de 6 pieds 5 pouces et 203 livres s’est propulsé sur une distance de 124,75 pouces pour marquer l’histoire du Combine de la Ligue nationale de hockey, samedi, à Buffalo. Il s’est mis à célébrer comme s’il venait de jouer les héros en prolongation.

«Je savais très bien ce que ça me prenait pour battre le record, a indiqué l’attaquant américain, qui a joué pour le programme national et l’Université du Michigan dans la NCAA cette saison. Je suis quelqu’un de compétitif.»

Et comment! On l’a constaté quand il a rapidement corrigé le collègue Chris Peters, qui mentionnait un saut de 124,5 pouces. «124,75», a-t-il rappelé, bien au fait de chacune de ses marques.

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Il regrettait du même souffle que son saut vertical du jour eût été «4 pouces et demi» en deçà d’un résultat obtenu en marge du Championnat mondial des moins de 18 ans.

Affinités avec les Lapointe

Horcoff, en plus de l’expérience que pouvait lui transmettre son père, avait un atout dans sa manche avant sa rencontre avec le CH, soit des affinités avec Martin Lapointe.

«J’ai joué avec Phil Lapointe cette saison. Je connaissais son père Martin, a souligné celui qui aimerait devenir un joueur de la trempe de Brady Tkachuk. Et je ne vous mentirai pas, j’étais prêt pour la question de l’animal.»

Sa décision d’opter pour le gorille à dos argenté ne relevait pas du hasard.

«C’est un leader qui protège la famille», a illustré Horcoff.

Après une récolte de 14 points, dont huit buts, en 28 matchs avec le programme de développement américain, Horcoff a joué dans la NCAA pour la seconde moitié de la saison. La transition a été plutôt douce, comme en font foi ses 10 points, dont quatre buts, en 18 matchs avec l’Université du Michigan.

«Je me vois comme un attaquant de puissance talentueux dans la LNH, prédit-il. Je peux avoir un impact en changeant le rythme d’une rencontre grâce à mon physique.»

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