Sylvain Marcel: Un détour imprévu à Whistler

Sylvain Marcel revenait tout juste de l’Ouest canadien, quelques jours auparavant, lorsque nous l’avons croisé au lancement de la programmation de Radio-Canada la semaine dernière.

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La raison principale de ce voyage était le tournage du film indépendant The Chilkoot Pass, du réalisateur Thommy Morais. «Un ami d’un de mes fils, qui vit là-bas, m’a demandé de faire un méchant. Ce n’est pas un gros rôle. On a tourné en anglais, c’était le fun. C’était la première fois pour moi, en anglais.» À la fin de son tournage, il était prêt à plier bagage et à rentrer à la maison, mais ce n’est pas ce qui s’est passé. «Air Canada était en grève, alors je suis resté pogné une semaine là-bas. C’est pour ça que je suis allé à Whistler.» Un mal pour un bien pour l’acteur, qui a pu passer du bon temps dans cette ville nichée dans les montagnes de la Colombie-Britannique et qui est revenu à temps pour reprendre les tournages de Dumas le 2 septembre dernier, après une pause estivale. On le retrouve d’ailleurs dans la deuxième saison de la série de Radio-Canada, à voir dès le 8 septembre, sous les traits de l’enquêteur Sylvain Diotte. «On va voir son côté familial», a-t-il mentionné. Il terminera aussi l’aventure du spectacle musical et humoristique Yvon Deschamps raconte LA SHOP, le 28 novembre, à Joliette, en plus de jouer un complotiste dans la saison 2 de MR BIG. Entre-temps, il continue de s’amuser à faire de la musique avec son fils aîné, Antoine, et la conjointe de ce dernier. On peut d’ailleurs entendre le résultat de leur collaboration dans des vidéos que Sylvain publie sur Instagram et sur sa page Facebook. «On reprend des tounes, mais la dernière qu’on a jouée (Les mégots écrasés) était une composition qu’on avait sur notre album Sylvain et ses Marcel.»

Voici d'autres nouvelles du lancement de la programmation de Radio-Canada:

André Robitaille

Un séjour romantique à Vienne

André Robitaille avait un été bien rempli en tant que producteur et metteur en scène chez Monarque, avec cinq productions qui roulaient. Il a néanmoins pu trouver le temps de décrocher en partant une semaine à Vienne, en Autriche, avec son amoureuse, Julie Boisvert. «Ç'a été une semaine d’amoureux très relaxe pour profiter des musées et de l’environnement de cette magnifique ville qui a changé le monde dans l’histoire. Ça nous intéressait. C’était la première fois que j’allais là-bas et j’avais rendez-vous avec Mozart, parce que je l’ai joué au théâtre pendant à peu près 10 ans. Je voulais aller marcher dans sa maison», nous a dit celui qui revient pour une 12e année à la barre des Enfants de la télé, dont ça sera la 16e saison, dès le 10 septembre, à Radio-Canada. Il y retrouve sa complice Mélanie Maynard. «On a du fun. Ce show-là, il faut qu’il soit dans le paysage. On a besoin de ce rendez-vous là. Les téléspectateurs sont là en grand nombre et les artistes veulent venir.» L’animateur sera également de retour à la fin de l’année sur la chaîne d’État pour la 10e saison de La revue culturelle, qui fera le tour des grands moments culturels de 2025. Puis, il présentera une autre grande entrevue en tête-à-tête après s’être notamment entretenu avec Béatrice Picard, Dominique Michel et Patsy Gallant. Cette fois-ci, il s’agira de Sœur Angèle. «On s’est parlé au téléphone il y a quelques semaines. Elle va très bien. Je la connais depuis toujours. Elle avait participé à Vazimolo en faisant un sketch avec moi et, depuis ce temps-là, chaque fois qu’on se voit, on est heureux. Je l’ai interviewée quelques fois. On va tourner en octobre», nous a dit l’animateur lorsque nous l’avons croisé au lancement de Radio-Canada. On pourra voir cet entretien le 9 décembre prochain.

Geneviève Schmidt

De belles retrouvailles

Pour Geneviève Schmidt, tourner dans STAT est un pur bonheur. «Marie-Andrée s’est encore une fois gâtée cette année avec le personnage d’Isabelle Granger. Elle va vivre des choses qu’elle ne se doutait pas qu’elle vivrait. Autant dans le positif, mais aussi dans le négatif de la vie. Elle est en rémission de son cancer.» En plus de son fils, Siméon (Benjamin Gratton), et de son conjoint, Daniel (Bruno Marcil), elle se retrouve en quelque sorte dans un triangle amoureux. «Il y a Raphaël, joué par Antoine (Bertrand), qui rôde un peu autour. C’est des montagnes russes d’émotions qu’elle va vivre, autant dans l’humour que dans le drame. C’est un bonheur de jouer ce personnage-là», nous a-t-elle confié lorsque nous l’avons rencontrée au lancement de la programmation de Radio-Canada. Comme STAT, qui reviendra à l'écran le 9 septembre, est désormais une hebdomadaire et non plus une quotidienne, la comédienne a pu prendre part à un autre beau projet, la série Les crues de Marie-Lyne Joncas et Eve Côté, dont les tournages se font à l’île d’Orléans. «J’ai connu Marie-Lyne sur La Maison-Bleue et elle est venue sur STAT. Elle mangeait du métal! J’ai voyagé avec elle et je l’aime beaucoup. C’est comme une petite sœur, parce qu’elle est plus jeune que moi... Eve Côté, je ne la connaissais pas et j’ai eu un gros coup de cœur pour elle.» Dans cette comédie, que l’on verra sur Crave en 2026, Geneviève campe une femme d’affaires qui va venir en aide aux personnages de Marie-Lyne et Eve qui veulent s’acheter un vignoble. La comédienne, qui a tourné en juin dans le film Francois.e de Jean-François Asselin, nous a mentionné avoir deux autres tournages télé cet automne, dont elle ne peut parler pour le moment. Par ailleurs, sur le plan des amours, la comédienne nous a indiqué être célibataire. «C’est pas mal premier épisode, page blanche! (rires) Pour l’instant, côté cœur, c’est bien moins intéressant que les épisodes de STAT! (rires)»

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