« Sucré salé »: ce nouvel élément facilite les tournages de l'émission!

Signe incontestable que l’été est à nos portes : Sucré salé, l’émission estivale chouchou des Québécois est de retour ! Mélanie Maynard et ses collaborateurs nous promettent une 24e saison haute en couleur, remplie d’entrevues palpitantes, d’anecdotes savoureuses et de fous rires assurés. Beau temps, mauvais temps, l’équipe est prête à vous accompagner tout l’été !

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Mélanie Maynard : un été sucré, salé et fort occupé !

C’est à bord de son minivan que l’animatrice Mélanie Maynard débarque au Camping Les Jardins d’eau à Marieville. « Les tournages de Sucré salé sont de type nomade, c’est-à-dire qu’on se promène un peu partout, on s’arrête manger sur la route, je me fais maquiller sur un coin de table à pique-nique et je me change dans les toilettes d’un restaurant. Mais tout ça, c’est fini depuis que j’ai mon minivan, que je surnomme affectueusement Vanna White (rires). C’est tellement agréable, c’est comme si j’avais une loge roulante ! ». À la barre de l’émission pour une troisième saison, Mélanie retombe tranquillement dans ses souliers d’animatrice. « Je ne suis pas une fille d’habitude, alors le début de saison me demande une petite période d’adaptation, surtout au niveau de la gestion de l’énergie ! J’ai découvert que mes bloopers survenaient surtout en après-midi, alors je prends maintenant ma médication pour mon TDAH en deux étapes, question de rester concentrée toute la journée. En même temps, il paraît que le public aime mes fous rires et mes commentaires déjantés, alors j’essaie de trouver un équilibre entre ma concentration et ma spontanéité ! », partage l’animatrice, avant d’entamer son entrevue avec son invité du jour, Alex Perron.

José Gaudet : nouveau collaborateur à Sucré salé

José Gaudet est tout nouveau dans l’équipe de Sucré salé. « Il y a trois ans, les producteurs m’ont approché pour m’offrir de devenir collaborateur à l’émission. Je leur suis revenu avec un concept : une entrevue de style "auto"biographie, réalisée dans mon garage, où l’on découvre l’artiste sous un nouvel angle, en jasant, entre autres, de voitures. Le hic, c’est que les tournages fittaient moyen dans mon horaire estival, alors finalement, j’ai passé mon tour. L’an dernier aussi, puisque je venais tout juste de lancer mon one-man-show. Ce printemps, je me suis retrouvé devant un choix : passer un été complètement humour avec mon spectacle solo et l’animation de galas, ou jumeler Y’était temps avec quelques numéros dans les galas et les entrevues à Sucré salé. J’ai écouté mon cœur et je suis officiellement chroniqueur à l’émission ! », partage José Gaudet, fort emballé par ses premières rencontres. « L’angle automobile nous permet d’apprendre des trucs inédits sur les artistes. Par exemple, saviez-vous que Caroline Néron a déjà eu un chauffeur, ou encore qu’elle traîne toujours des boîtes de vibrateurs dans sa voiture ? C’est le genre de choses inusitées qu’on apprend avec "l’auto"biographie ! ».

Varda Étienne : « Ce n’est que du bonheur ! »

Lorsqu’on demande à Varda Étienne depuis combien d’années elle est collaboratrice à Sucré salé, elle fait le calcul en se fiant à l’âge de son fils. « Sacha est âgé de 22 ans. Il avait un an lorsque j’ai débuté Sucré salé. Ça fait donc 23 ans que je suis collaboratrice à l’émission ! », explique la diva de Brossard. « Chaque année, je me pose les questions : Est-ce que j’en ai envie ? Suis-je toujours pertinente ? Me veulent-ils encore ? Si les réponses sont oui, j’embarque. Collaborer à Sucré salé, ce n’est pas du travail, ce n’est que du bonheur. En plus, j’adore l’été, c’est la saison où je vais le mieux mentalement. Même après toutes ces années, il y a plein de personnalités dans le bottin artistique que je n’ai pas encore interviewées. Alors j’ai hâte d’avoir un petit moment privilégié avec eux ! »

Simon Boulerice : fasciné par la création

Même s’il est collaborateur pour une sixième année consécutive à Sucré salé, Simon Boulerice ne se considère pas comme un animateur ou un intervieweur. « J’aime mettre l’autre en lumière, alors j’allume le bouton "curiosité" et je me laisse aller. Mes rencontres sont tellement inspirantes. Bien égoïstement, j’ai l’impression que ça nourrit le créateur en moi », explique celui qui mène les Entrevues Boulerice en coulisse. « La création, c’est la chose que j’aime le plus sur terre, alors j’adore découvrir ce qui se fait en amont d’un spectacle. Par exemple, je rencontre Guylaine Tremblay qui présente la pièce Janettechez Duceppe. A-t-elle un rituel avant d’entrer sur scène ? Est-elle superstitieuse ? Révise-t-elle ses notes ? Tout ça me fascine ! »

Chloée Deblois: un rêve devenu réalité

De retour pour une deuxième année dans l’équipe de Sucré salé, Chloée Deblois se souvient exactement du moment où elle a exprimé le souhait de devenir chroniqueuse à l’émission. « C’était en 2002. Invité à Sucré salé, le groupe de l’heure Las Ketchup effectuait une performance en direct de La Ronde. J’étais âgée de 8 ans, et ça a m’avait tellement marquée que je me suis dit : “Un jour, je vais être collaboratrice à l’émission !” ». Ce n’est pas un hasard si la chronique de Chloée porte le nom Entrevues de groopies.
« Même si j’évolue aujourd’hui dans le domaine artistique, je suis toujours aussi groopie des personnalités québécoises, à commencer par Mélanie Maynard ! Cela dit, je ne suis pas intimidée par les gens que j’interviewe, je suis plutôt admirative de leur talent ! »

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