Pascal Morrissette a passé une très mauvaise nuit à cause d'une phrase de sa mère!
Richard Turcotte
Jeudi dernier, c’était la Journée mondiale de l’enfance, célébrée par l’ONU et l’UNICEF. Cette journée souligne, entre autres, l’adoption de la Déclaration des droits de l’enfant et de la Convention relative aux droits de l’enfant. Et comme on a tous été l’enfant de quelqu’un, il y a sûrement des phrases que vos parents vous répétaient... et qui résonnent encore aujourd’hui.
• À lire aussi: Richard Turcotte et son équipe racontent les fois où ils ont bien failli y passer au volant!
• À lire aussi: Un bain chaud et des biographies: les secrets de Richard Turcotte pour combattre la déprime du mois de novembre
• À lire aussi: Moment de groupe: quelle est votre meilleure anecdote liée au changement d'heure?
Pire: vous vous surprenez peut-être à ressortir ces fameuses phrases aux mêmes moments, avec le même ton, mais cette fois, à vos propres enfants!
C’est dans cet esprit ludique que nous nous amusons avec l'équipe de Salut Bonjour Week-end. On s'est posé la question: quelles sont les phrases de vos parents qui vous ont marqués?
Une famille de phrases
Il y a les grands classiques que nous avons pratiquement tous déjà entendus: «Sois poli si t’es pas joli!»; «Mange tes croûtes si tu veux grandir»; « Ferme la porte, on chauffe pas dehors!».
J’ai demandé à mes enfants et à mon épouse – oui, du cheap labour – quelles étaient les phrases qu'on leur a souvent répétées. Ils n'ont pas eu à réfléchir bien longtemps! Ils m'ont répondu sans hésiter.
Ma femme dit à mes enfants ados qui sortent le soir: «Restez beaux!»
Toute la famille ensemble, avant chaque départ en auto: «En route, ça croûte!»
Ma femme, encore, aux enfants: «Il va arriver ce qui doit arriver de mieux».
Ma femme (un peu feeling après deux verres de vin) à mon garçon: «Remercie le ciel d’avoir autant de cheveux!»
Des parents marquants
Pour Evelyne Audet, c'est son père qui lui répondait toujours: «Tu vas mourir dans tes droits».
«Quand j'étais jeune, s'il m'avertissait, me mettait en garde ou m'intimait de faire attention, mais que je m'apprêtais à faire quelque chose de tout de même permis, je m'obstinais et je répondais que “j'avais le droit”. Et il me répondait, avec sarcasme: “Bon bien, fais-le, tu vas mourir dans tes droits”. Aujourd'hui, c’est moi qui m’en sers tout le temps. Par exemple, si quelqu'un me dit: “Moi, je pose mes pneus le 30 novembre, j'ai le droit”, je lui réponds “Bien oui, t'as le droit, mais tu vas mourir dans tes droits!”»
Pascal Morrissette, lui, se souvient qu'une phrase de sa mère lui a fait passer une très mauvaise nuit.
«Ma mère m’a déjà raconté que quand elle était jeune, dans la nuit, elle a vu deux yeux rouges dans le noir du corridor, et une grosse cape noire... “Je pense que c’était le diable”, a-t-elle déclaré avant de conclure par “Bonne nuit, va te coucher”. Je n'ai pas passé une super nuit!»