Le brunch de Pâques: une manne économique pour les restaurateurs

Le long week-end de Pâques est une manne financière pour plusieurs restaurateurs, d’autant plus que le mois d’avril est relativement tranquille.

Les carnets de réservation sont complets, ou presque, pour plusieurs établissements, et notamment pour l’heure du brunch.

Et c’est dire: au restaurant La Bûche, à Québec sur la rue Saint-Louis, on attend 1000 personnes par jour d’ici lundi soir.

«Le Vendredi saint ça part toujours en force. Il y en a qui ont commencé Jeudi saint aussi. Mais là ce matin, l’ambiance est déjà extraordinaire», détaille Pierre-Olivier Gingras, copropriétaire de La Bûche.

Chez le restaurant Le Clan, lui aussi localisé dans le Vieux-Québec, la situation n’est pas plus à plaindre.

«Du monde le soir, le jour. C’est comme si c’était la fin de semaine où tout recommence : la pêche au crave, il va recommencer à faire beau... donc oui, ça devrait être assez occupé», mentionne pour sa part Stéphane Modat, chef chez Le Clan.

Les restaurateurs espèrent que les citoyens honoreront leurs réservations. Ils espèrent éviter de la sorte ces fameuses vagues de «no-show» qui accablent le milieu de la restauration.