La princesse Beatrice parmi la foule!
Anaïs Chabot
La princesse Beatrice a été aperçue dans la foule près de Buckingham Palace en compagnie de son mari, Edoardo Mapelli Mozzi, de ses filles Sienna et Athena, et son beau-fils, Wolfie. La foule était réunie pour acclamer les Lionesses, championnes de l'Euro féminin de football.
• À lire aussi: Le prince Harry sur les traces de sa mère
• À lire aussi: Vers une réconciliation entre le prince Harry et le roi Charles III?
• À lire aussi: Charles III: Une monarchie plus moderne, mais surtout humaine
• À lire aussi: Peter Phillips: le petit-fils d'Élisabeth II annonce ses fiançailles!
Sur les photos, on peut apercevoir Athena, née prématurément le 22 janvier, dans un porte-bébé sur le ventre de son père. La petite Sienna, qui aura quatre ans le 18 septembre, tient dans ses mains un drapeau de l'Angleterre. L'équipe féminine de football, surnommée les Lionesses, représente l'Angleterre dans les compétitions majeures de football féminin et a remporté l'Euro féminin le 27 juillet, devant l'équipe nationale féminine d'Espagne. Le prince William et sa fille Charlotte étaient d'ailleurs présents pour l'occasion, tout comme les princesses Leonor et Sofia d'Espagne.
Voici d'autres nouvelles qui ont retenu notre attention cette semaine:
La princesse Margaret souffrait-elle du syndrome de l’alcoolisation fœtale?

Un nouveau livre intitulé Princess Margaret and the Curse: An Inquiry into a Royal Life, de l’autrice Meryle Secrest, avance l’hypothèse que la princesse Margaret, sœur cadette de la reine Elizabeth II, aurait souffert du syndrome de l’alcoolisation fœtale (SAF) en raison de la consommation d’alcool de la reine mère durant sa grossesse, rapporte le magazine People, selon des informations du Telegraph. Ce syndrome, aujourd’hui bien documenté, a été identifié en 1973, et était donc inconnu au moment de la naissance de Margaret, en 1930.
Dans ce livre, l’autrice s’appuie sur des lettres et témoignages de l’époque pour souligner que la reine mère, Elizabeth Bowes-Lyon, était connue pour son penchant pour l’alcool et qu’il n’existait aucune recommandation médicale déconseillant la consommation d’alcool pendant la grossesse à cette période. Par exemple, lors de la grossesse de sa première fille, la future Elizabeth II, née en 1926, la reine mère écrivait à son mari: «La vue du vin me dégoûte, tout simplement! Est-ce que ce n’est pas extraordinaire? Ce sera une tragédie si je ne retrouve jamais ma capacité à boire.» Un passage interprété comme une aversion temporaire pour l’alcool pendant cette première grossesse, qui n’aurait pas perduré lors de la seconde.

Le syndrome d’alcoolisation fœtale se manifeste par des troubles du comportement, un retard de croissance et parfois des particularités faciales, bien que l’autrice admette que Margaret ne présentait pas ces signes physiques distinctifs. Cependant, la biographe évoque de potentiels symptômes compatibles: ses sautes d’humeur, sa petite taille (1,55m), ses maux de tête récurrents et ses difficultés d’apprentissage. La personnalité de Margaret, jugée turbulente et imprévisible, et ses problèmes de santé une fois adulte (dont de nombreux AVC) sont interprétés dans ce livre comme de possibles traces d’un trouble invisible jamais diagnostiqué de son vivant.
À noter qu’aucun document historique, rapport médical ou témoignage direct ne confirme formellement ce diagnostic rétrospectif; la thèse de Meryle Secrest reste donc spéculative. Le livre sera publié le 9 septembre prochain.