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L'article provient de Le Journal de Montréal
Culture

Damien Robitaille commente cinq nouvelles chansons d’«Ultraviolet»

Photo fournie par MARTIN GIRARD
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Photo portrait de Raphaël Gendron-Martin

Raphaël Gendron-Martin

2025-02-08T05:00:00Z
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Le Journal a demandé à Damien Robitaille de commenter quelques pièces de son nouvel album, Ultraviolet, réalisé par Carl Bastien.

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– (She’s Got That) Je ne sais quoi

«Pendant la pandémie, les reprises que je faisais qui avaient le plus de succès, c’était les tounes dance des années 1990, comme Pump Up the Jam, Rhythm of the Night et I Like to Move It. C’est ça que j’écoute avec mes enfants dans l’auto [...]. Ça faisait plusieurs années que je voulais faire une chanson qui montre que même en anglais, on utilise des expressions en français. J’ai sorti plein de mots comme “femme fatale”, “magnifique” et “bon voyage”.»

Notre verdict: Hyper-accrocheuse, elle entre dans le top 5 des meilleures chansons de Damien en carrière. Elle a du potentiel pour être un succès radio et sera assurément une favorite de la foule en concert. On ne se tanne pas de l’écouter en boucle.

– Kaléidoscope

«C’est la première chanson que j’ai terminée pour l’album, mais ç’a pris tout un chemin pour s’y rendre! Au début, la mélodie au piano, ça sonnait comme Jump, de Van Halen! Je n’étais pas sûr. Les paroles au début étaient quétaines, c’était horrible [rires]! Je l’avais même appelée Saute-mouton

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Notre verdict: Autant rythmée que Je ne sais quoi, elle nous donne aussi envie de hocher de la tête en chantant le refrain «Je suis décalé dans un kaléidoscope».

– Limousine

«J’aime dire que j’ai rencontré Vanessa [sa conjointe] dans une limousine. C’est une joke qui grandit et qui devient une histoire. [...] On avait fait un road trip en Espagne et elle était parfois assise en arrière. Je me sentais comme un chauffeur! C’est la même chose quand je conduis les enfants. [...] J’ai eu l’idée de cette chanson lors d’un voyage à Québec... en train!»

Notre verdict: Synonyme de liberté, cette pièce s’écoutera très bien lors des journées ensoleillées en voiture... ou en limousine!

– Point de non-retour

«C’est une chanson inspirée du style dance 90 [années 1990], comme What Is Love. J’imaginais une chanson pour courir et ce que ça m’évoquait. Je rends ça plus poétique que juste du jogging [rires]! C’est une chanson de voyage, comme quand je retourne chez nous en Ontario. Il y a un point de non-retour.»

Notre verdict: On sent ici la touche du réalisateur, Carl Bastien (Dumas, Daniel Bélanger), le maître des mélodies et ambiances aux synthétiseurs. L’épique envolée durant la dernière minute est jouissive. On a très hâte aussi de l’entendre en spectacle.

– Ultraviolet

«C’était une toune plus reggae au début! Je voyais ça comme une chanson pop un peu ska. Tant qu’à écrire, j’avais décidé d’aller au Mexique. À l’époque, il y avait l’éclipse et je parlais qu’il fallait se protéger avec de la crème solaire. [...] Il y a plusieurs chansons qui parlent de lumière sur l’album, comme Ultraviolet, Aurores boréales et Kaléidoscope

Notre verdict: Autre morceau qui respire le soleil et la chaleur. Il pourrait aussi très bien fonctionner à la radio.

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