Publicité
L'article provient de TVA Nouvelles
Culture

VIDÉO | Diane Lavallée parle de ses traitements contre le cancer du sein

Partager
Photo portrait de Guillaume Picard

Guillaume Picard

2025-09-03T23:00:00Z
Partager

L’attachante Diane Lavallée a évoqué les traitements contre le cancer du sein auxquels elle s’est soumise et l’énergie qu’elle a depuis retrouvée.

En entrevue mercredi avec Mélanie Maynard à Sucré Salé, la comédienne de 69 ans, à jamais associée à La petite vie, n’a pas caché que les dernières années ont été plutôt difficiles, d’autant plus qu’elle a été contrainte de cesser toutes ses activités professionnelles pendant 18 mois.

CAPTURE D’ÉCRAN TIRÉE DE «SUCRÉ SALÉ», AGENCE QMI
CAPTURE D’ÉCRAN TIRÉE DE «SUCRÉ SALÉ», AGENCE QMI

«Je savais que j’allais en chimio, que j’allais en radiothérapie aussi. Huit séances de chimio, c’est ce que j’ai fait. Deux opérations parce qu’il y avait des ganglions qui sont apparus, une deuxième opération, et 15 séances de radiothérapie. Tout ça s’est terminé en novembre 2024 et depuis ce temps-là, tout est cool, mes cheveux ont repoussé. C’est une couleur que je ne m’attendais pas. Là, je vais bien», a-t-elle relaté en entrevue à propos de cette «expérience» humaine, elle qui n’avait jamais été à l’hôpital, sinon pour accoucher.

«Je ne suis jamais malade. Bien sûr qu’après la quatrième séance de chimiothérapie, c’est moins le fun, c’est moins rigolo. Mais il reste qu’il y a quand même une façon, en tout cas, chacune à sa façon, moi j’ai vu ça plus de manière ludique. Pas que je ne prenais pas ça au sérieux, mais je voulais que ça passe, je ne voulais pas que ça me draine vers le bas», a raconté la mère de la comédienne Laurence Leboeuf.

Publicité
Diane Lavallée lors de son entretien avec Mélanie Maynard à «Sucré Salé».
Diane Lavallée lors de son entretien avec Mélanie Maynard à «Sucré Salé». PHOTO FOURNIE PAR TVA

«Je ne sais pas si j’ai frôlé la mort, je ne crois pas. Je n’ai pas d’envies folles de quoi que ce soit», a-t-elle poursuivi. 

Son besoin primaire, en revanche, est d’être proche des gens qu’elle aime, a souligné celle qui était sur les planches, cet été, dans la pièce Appelez-moi Stéphane de Claude Meunier et Louis Saia aux côtés, entre autres, de ses camarades de jeu Sandrine Bisson, Bernard Fortin et Tammy Verge.

«J’avais très peur de savoir comment je réagirais sur scène et aux [répétitions], les avant-premières et tout, les premières. Mais ça a tellement bien été parce que la première semaine, à Québec, on a fait six représentations. On en a fait deux le vendredi, deux le samedi et deux le dimanche. Donc c’était énorme. [...] Je suis rentrée chez nous le lundi et je pense que j’ai eu le sourire une bonne partie de la journée.»

Du même auteur

• À lire aussi: «La sensibilité que je cherchais à cacher, plus jeune, toute la honte que j’avais par rapport à ça, c’est fou, car c’est devenu ma force» – Sébastien Delorme

• À lire aussi: «On va voir ce dont je suis capable»: Julie Ringuette obtient le rôle dont elle a toujours rêvé dans «Alertes»

• À lire aussi: «Il y a encore des choses à la télé que les femmes ne peuvent pas faire»: Bianca Gervais incarne une femme rigide et inamicale dans «Les Armes»

• À lire aussi: Nous avons vu les deux premiers épisodes: encore plus d’action dans la deuxième saison du thriller militaire «Les armes»

Publicité
Publicité