Stéphane Venne déçu de l’entrevue de Guy A Lepage avec Léa Clermont-Dion

Caroline G. Murphy (Le Sac de Chips)
Dimanche soir, à Tout le monde en parle, Léa Clermont-Dion est revenue sur le «scandale de la semaine», et le principal intéressé, Stéphane Venne, s’est dit déçu de l’entrevue menée par Guy A Lepage.
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Lundi, le parolier s’est tourné vers X, anciennement Twitter, pour réagir à l’entrevue:
«J'ai enfin visionné TLMP. Déçu. Lepage a laissé se perpétuer sans la contester l'idée que je suis responsable de la misogynie des gens qui ont réagi de manière primaire et sexiste à mon intervention initiale sur la photo de Mme Clermont-Dion, intervention qui n'avait intrinsèquement rien de misogyne. Mon intervention était une pure réaction étonnée devant une certaine photo.»
J'ai enfin visionné TLMP. Déçu. Lepage a laissé se perpétuer sans la contester l'idée que je suis responsable de la misogynie des gens qui ont réagi de manière primaire et sexiste à mon intervention initiale sur la photo de Mme Clermont-Dion, intervention qui n'avait…
— Stéphane Venne (@stvenne) October 7, 2024
Venne fait référence à cet échange entre Guy A Lepage et son invitée, et affirme qu'il n'est pas responsable des réactions que son tweet a déclenché:
L’auteur poursuit son long message sur X en précisant qu’il est déçu, mais pas surpris, car selon lui, Tout le monde en parle ne laisse plus place aux vrais débats corsés.
«Cela dit, je comprends Lepage: on est au Québec, pas en France, notre monde du divertissement se veut amical et le moins confrontationnel possible... sauf quelques hallalis de bon ton ici et là pour faire bonne mesure.»
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Dimanche, Léa Clermont-Dion, qui s’est dite blessée par les propos de Venne dans le tweet depuis supprimé, a confié qu’elle aurait aimé qu’il l’appelle pour s’excuser, ce qui n’est pas arrivé.
Venne a également réagi à ce segment: «Mme Clermont-Dion a glissé que j'aurais dû la joindre par téléphone. Hein? Pourquoi faire? Pour quoi dire? Ce n'est pas moi qui ai lancé à l'aveuglette et irresponsablement l'effet-meute et m'a affublé du qualificatif de misogyne. Si elle avait voulu que je lui explique mes dires, elle aurait pu, avant de partir en peur, m'écrire ouvertement, en public, sur Twitter (le seul médsoc que je fréquente) car le présent post est la 1000e démonstration que je suis joignable par quiconque veut me joindre... pour parler d'idées. Pas personnellement, évidemment. Nuance. Y'a "la vie pis les vues..." a dit Pierre Harel.»
L’entrevue complète de Léa Clermont-Dion est disponible ici.