Après «STAT» et «Chanteurs masqués», Stéphane Rousseau sera du «Bye Bye 2025»

Stéphane Rousseau fait déjà partie de deux des émissions les plus populaires du petit écran, soit STAT et Chanteurs masqués. Il vient tout juste d’ajouter une autre corde prestigieuse à son arc en se joignant à la joyeuse bande du Bye Bye 2025. Rencontre avec un artiste comblé qui carbure aux projets rassembleurs.

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Comment te sens-tu de participer au 50e anniversaire du Bye Bye?

Je capote vraiment. J'ai envie de triper avec cette gang-là, parce que quand la gang tripe, les gens tripent à la maison. Ça paraît à l’écran quand une équipe a du vrai fun. Je les adore tous. J’ai beaucoup de complicité avec plusieurs d'entre eux.

Avec qui avais-tu déjà collaboré dans la distribution?

Pas mal tout le monde! Avec Virginie Fortin, on a fait des sketchs dans le Club Soly, avec Katherine Levac, c'était dans le cadre de SNL Québec. Avec Pierre-Yves Roy-Desmarais, on a tourné des trucs encore secrets et qui ne sont pas encore diffusés. J'ai connu Antoine Bertrand sur STAT et j'ai joué avec Anne Dorval dans Le cœur a ses raisons... Bref, plein de monde avec qui j’ai une belle complicité.

Le concept est un peu différent cette année, puisque le travail est plus largement divisé...

C’est exigeant, le Bye Bye. Là, avec plusieurs groupes de travail, on va pouvoir se partager la tarte. Ça risque d’être un rythme plus relax, plus cool, qui s’insère mieux dans l’horaire de chacun. J’ai déjà imité Jay Du Temple et Louis Morissette comme artiste invité par le passé, et là, je suis heureux de faire partie intégrante du projet.

As-tu une liste de personnes que tu aimerais imiter?

Je ne me suis pas fait de liste, mais là, je m’en veux, car certains l’ont déjà fait! (rires) Je ne déteste pas incarner des femmes. J’ai déjà fait Isabelle Boulay avec Marc Labrèche à Je viens vers toi, et ça avait vraiment bien marché. 

Les tournages de STAT recommencent bientôt, semble-t-il?

On recommence à la fin juin. Ça a fait beaucoup parler que le format change pour devenir une émission d’une heure par semaine.

Est-ce que de passer du format de la quotidienne à une émission hebdomadaire te plaît?

Oui, ça me plaît! La quotidienne, c'était sportif. Là, on va pouvoir prendre le temps d’installer les choses. On est plus dans les codes d’une série lourde. J’ai confiance en Marie-Andrée Labbé, qui planche sur les textes actuellement. Je ne sais pas encore ce qui s’en vient pour Éric. Je n’ai pas vu les textes, c’est toujours une surprise. Chose certaine, je sais que le noyau, la gang d’amis qu’on connaît, reste au cœur de l’intrigue. C’est clair qu’on va se voir un peu moins souvent, mais c’est correct que ça évolue.

Parlons de Chanteurs masqués...

On a fait un seul jour de tournage jusqu'à maintenant. C’est un show unique, léger, ludique. Cette année, le format change aussi pour cette émission, qui passe d’une heure à une heure et demie. Je suis chanceux d’être dans deux émissions quotidiennes très regardées. Je trouve ça vraiment le fun, parce que les enfants me reconnaissent dans la rue grâce à Chanteurs masqués et les ados viennent me voir parce qu’ils écoutent STAT. C’est quelque chose d’assez rare de rejoindre plusieurs générations comme ça.

Que va apporter cette demi-heure supplémentaire à Chanteurs masqués?

C’est une émission qui était montée très serrée. Ça va donc donner de l’espace pour voir davantage nos réactions et nos interactions. Ça va permettre d'accueillir d’invités surprises qui vont venir foutre le bordel. Je crois que ça va être très drôle!

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