Sandro Grande émotif: «pauvre ti-minou», a dit Sophie Durocher
Agence QMI
On ne peut pas dire que Sandro Grande va obtenir beaucoup de réconfort sur l’épaule de Sophie Durocher, et l’animatrice de QUB Radio a été très claire au micro de Benoît Dutrizac, jeudi.
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«Ça lui tentait pas de regretter avant d’envoyer son tweet?», a-t-elle questionné.
Dutrizac non plus n’a pas sorti son côté compatissant aujourd’hui (oui, il en a un). Pour lui, si l’entraineur-éclair du CF Montréal avait reconnu son erreur, la situation aurait été bien différente.
«S’il avait dit: “j’ai chié sur la société qui a ouvert les bras à mes parents, et peut-être que je suis un imbécile”, on se serait dit qu’il a compris», a affirmé le bouillant animateur.
Sophie Durocher a rappelé que la société québécoise est un endroit où la liberté d’expression est très importante, et qu’elle nous donne le droit de débattre de tous les sujets sans craindre des représailles. Mais que souhaiter la mort de quelqu’un, c’est une tout autre histoire.
«Il a tissé la corde avec laquelle il s’est pendu», a estimé l’animateur.
On peut dire que si Sancho Grande espérait calmer la grogner à son égard, ce n’est pas à QUB radio qu’il a atteint son but.