«Profondément contrariée» : Meghan Markle et le prince Harry au bord de la rupture
Clin d'oeil
Entre rêves de retour à Londres et désir d’indépendance californienne, le prince Harry et Meghan Markle seraient à nouveau à un tournant décisif de leur histoire. Et, selon certains murmures, Buckingham n’attendrait qu’un mot pour enclencher le plan de secours.
D’un côté, Harry, toujours nostalgique de sa terre natale, nourrirait l’espoir secret de rentrer au Royaume-Uni. De l’autre, Meghan, farouchement attachée à sa vie sous le soleil de Montecito, n’aurait aucune envie de revivre l’ombre des palais et les projecteurs incessants. Pour l’ex-actrice de Suits, la page britannique est bel et bien tournée — et elle n’en garde pas les meilleurs souvenirs.
Un désaccord qui, d’après Radar Online, ferait naître de réelles tensions au sein du couple. Assez sérieuses, murmure-t-on, pour que le mot «divorce» ait été prononcé. Et, bien sûr, le Palais aurait déjà tout prévu.
Un «plan divorce» déjà prêt?
Lors de sa visite à Londres en septembre dernier, Harry aurait renoué le dialogue avec son père, Charles III, pour la première fois depuis plus d’un an et demi. Un rapprochement qui n’aurait pas échappé aux conseillers royaux, d’autant que le duc a retrouvé avec émotion les associations qu’il soutenait autrefois — et le soutien intact du public britannique.
Mais si ce retour temporaire a ranimé les souvenirs du prince, il aurait aussi réveillé les inquiétudes de Meghan. Une source proche du couple confie qu’elle serait «anxieuse à l’idée de voir Harry retomber dans ses anciens schémas familiaux» et «profondément contrariée» par son envie de rentrer au pays.
Résultat: deux visions diamétralement opposées, et au milieu, un Palais prêt à tout anticiper. Selon plusieurs sources, les conseillers royaux auraient discrètement commencé à «élaborer des plans de contingence en cas de rupture».
Un accord royal et une clause de silence?
Toujours selon ces rumeurs, Meghan pourrait se voir proposer un golden handshake, soit un accord financier généreux, mais strictement encadré, incluant une clause de confidentialité en béton armé. Le but? Éviter tout déballage médiatique susceptible d’ébranler la monarchie.
Et si le divorce devait être acté, la duchesse conserverait son titre de Sussex — un compromis qui permettrait au Palais de sauver les apparences tout en évitant une nouvelle guerre de communication.
Une chose est sûre: rien n’est jamais laissé au hasard, avec la royauté.