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Pier-Luc Funk raconte l'intimidation et la violence qu'il a vécu

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Pierre-Luc Houle

2025-09-16T23:00:00Z
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Invité de l’émission Le beau dimanche de Jeannot animée par Jean-Sébastien Girard et diffusée sur ICI Première le 14 septembre, Pier-Luc Funk s’est ouvert avec une rare sincérité sur son enfance marquée par l’intimidation.

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Le comédien a confié qu’il avait longtemps souffert à l’école primaire, n’ayant pratiquement pas d’amis et subissant régulièrement la violence de ses camarades. 

«Hey non, moi je n’étais pas cool, là, J-S, je n’ai pas été cool du tout (...) Jusqu’à Jean-Carl, que j’ai rencontré à 12 ans, j’avais un ami, je n’étais pas cool du tout, là, moi, à l’école (...) Je ne veux pas faire pitié, je ne suis pas le seul au Québec qui a vécu de l’intimidation, mais ouin... Moi, ç’a été comme terrible, là, pour ça... Je me faisais battre. J’arrivais chez nous la lèvre en sang, une main étampée dans le dos, plus de tuque, plus de boîte à lunch, plus d’affaires. Puis ma mère, elle ne savait plus quoi faire. Elle me changeait d’arrêt d’autobus pour que j’arrête de me faire écœurer par mes voisins. Et là, ils trouvaient mon nouvel arrêt d’autobus (...) Donc tout mon primaire, ç’a été un cauchemar.»

Il a également raconté qu’un ami, récemment, lui avait partagé une conversation avec ses anciens intimidateurs. Ceux-ci, croisés par hasard dans un camping, auraient affirmé qu’ils n’avaient pas à se sentir coupables de l’avoir maltraité, sous prétexte qu’il avait bien réussi sa vie.

Avec du recul, Pier-Luc Funk préfère voir le positif: 

«Après ça, moi, je regarde ce qu’ils sont devenus et je pense que j’ai gagné au bout du compte (...) Ça, ça m’a fait un petit velours», conclut-il.

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