«On est payés très maigrement par épisode», confie le tatoueur québécois Luka Lajoie, qui a révélé quelques secrets de coulisses sur la téléréalité «Ink Master»

Frédérique De Simone
Le tatoueur Luka Lajoie, premier artiste québécois à participer à la téléréalité américaine Ink Master, a dévoilé vendredi quelques secrets de coulisses.
Invité à l’émission de Benoît Dutrizac à QUB radio en fin de matinée, le tatoueur a raconté avoir finalement accepté de participer à la compétition, après plusieurs années à se faire courtiser par la production, lorsqu’il a constaté un changement de cap axé sur la création, les techniques et les théories du tatouage.

«[Pendant les tournages], on est payés très maigrement par épisode», a cependant confié le tatoueur québécois sur les ondes du 99,5 FM Montréal.
«Ce n’est à peu près pas à considérer. C’est seulement pour dire qu’on a un petit cachet. Un épisode peut être enregistré sur plusieurs journées. Au bout du compte, ça me donne un petit montant, mais là-bas, la production paie toutes les dépenses», a-t-il ajouté.
Originaire de Lanaudière, Luka Lajoie cumule 18 ans d’expérience dans le milieu du tatouage. Il se spécialise dans le réalisme couleur, une discipline qui demande une maîtrise technique exceptionnelle et un sens aiguisé du détail.

Après la diffusion du sixième épisode sur Paramount+, jeudi, le tatoueur était toujours dans la course.
La compétition se poursuit chaque semaine sur Paramount+.