Moment de groupe: Quelle est votre meilleure anecdote d'Halloween?

La fête de l’Halloween est à nos portes – leurs sonnettes vont d’ailleurs se faire entendre cette semaine, actionnées par des ti-Deadpool, Wolverine ou Labubu.

La fête de l’Halloween tirerait ses origines d’une très ancienne tradition celtique appelée Samhain (prononcé Sa-ou-ine), célébrée il y a plus de 2000 ans en Irlande, en Écosse et au pays de Galles. Pour les Celtes, Samhain marquait la fin de l’été et le début de la saison sombre, autour du 31 octobre. On croyait que cette nuit-là, la frontière entre le monde des vivants et celui des esprits devenait plus mince, permettant aux âmes de revenir sur Terre. Les gens allumaient de grands feux et portaient des costumes effrayants pour éloigner les mauvais esprits. 

La veille du 1^er novembre, All Hallows’ Eve (la veille de la Toussaint), s’est transformée au fil du temps en Halloween. Les citrouilles ont peu à peu remplacé les navets sculptés utilisés en Europe, et la fête s’est transformée en célébration populaire centrée sur les costumes, les friandises et le plaisir.

Voilà donc le moment de se raconter nos meilleures anecdotes d’Halloween.

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Les concours de costumes

La mienne met en vedette mes deux frères, Denis et Daniel, de quatre et six ans mes cadets. À l’âge où ils pouvaient enfin sortir dans les bars, ils ont confectionné un déguisement de robot. Une ceinture de piles alimentait l’attirail électronique du costume. On y retrouvait des lumières de toutes les couleurs, mais surtout un gant spécial qui donnait des décharges électriques aux gens qui osaient sympathiser avec le robot ou, tout simplement, pour faire bouger les gars un peu «chauds» qui bloquaient le passage.

Le coût du costume fut rentabilisé grâce aux nombreuses bouteilles de champagne cheap remportées dans les concours de meilleurs déguisements!

Les anecdotes de l'équipe

«J’adore l’Halloween! raconte Annie-Soleil. Toutes les occasions sont bonnes pour mettre un costume. Longtemps, je me déguisais en patentes cutes, en licorne, en Marilyn Monroe, en léopard. Mais le jour où j’ai découvert qu’on avait le droit de faire peur au monde à l’Halloween, bien j'ai tout donné!»

Pascal, lui s'est déjà déguisé en «Odorama». «Je me suis habillé en genre de Gino, chemise et jeans serrés. La cerise sur le sundae, c'est que j'ai mis beaucoup, mais BEAUCOUP de parfum cheap acheté au magasin du dollar. Quelle mauvaise idée! J'ai eu tellement mal à la tête... Mes amis ont trouvé ça drôle pendant zéro seconde et m'ont même demandé de quitter le party. Je suis allé me laver, mais ça sentait encore... À ne pas faire!»

Alex n'est un fan de l’Halloween, ça vient peut-être du fait qu'il a grandi en Abitibi. «La plupart du temps, on passait la soirée en costume... avec un manteau d’hiver en dessous!»

Pour Félix, ce sont les bonbons particuliers! «Mes meilleurs souvenirs sont les maisons qui donnaient des friandises funky. Je me souviens d’une maison où l'on donnait des berlingots de lait au chocolat, car le proprio travaillait pour Québon!»