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Culture

Les enfants de Guy Jodoin se livrent sur leur relation avec leur père

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Marie-Ève Leclerc

2025-02-07T11:00:00Z
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Sur le plateau de Ça finit bien la semaine, trois des quatre enfants de Guy Jodoin, Hugolin, Léandre et Bianca (Mégane ne pouvait pas être présente) sont venus rendre hommage à leur père. Nous leur avons posé quelques questions pour en savoir plus sur la relation qu’ils ont avec lui.

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Quel genre de père est Guy Jodoin?

HUGOLIN: Notre relation évolue avec les années. Plus nous grandissons, plus il devient notre ami. Je me confie plus à mon père depuis quelques années. Je rencontre aussi l’humain derrière le rôle de père.

LÉANDRE: Petit, j’avais l’impression qu’il y avait huit jours dans sa semaine. Il travaillait beaucoup, mais à la maison, il passait du temps de qualité avec nous. Et il n’y avait jamais de temps mort avec lui.

BIANCA: Je n’ai pas l’impression que notre père n’était pas présent dans notre vie. Il était vraiment là avec nous et il suivait tout. Si nous avions un examen, il y avait une petite note sur la table le matin.

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Comment avez-vous composé avec la popularité de votre père?

H.: La règle à la maison était de ne jamais parler de notre père à l’école. Mais, ça se savait quand même. C’est sûr que lorsqu’on allait au restaurant ou au hockey, il prenait le temps d’être généreux avec le public. Mais nous avons développé des petites techniques quand il y a trop de gens autour de lui et que nous avons quelque chose de prévu... C’est un modèle de générosité.

L.: Ça nous gossait un peu quand on était petits, car on avait l’impression de perdre du temps avec notre père. Mais, en vieillissant, on comprend la réalité d’être une personnalité publique. Quand je me promène avec lui, je suis rendu un photographe professionnel.

B.: Je travaille dans le même milieu que lui depuis 15 ans. J’ai donc développé un côté protecteur; je ne parle pas de mes parents au travail. C’est important d’avoir ce jardin secret où on protège la famille.

Finalement, avez-vous une anecdote particulière avec lui?

B.: Jeune, je suivais des cours de danse et on pouvait amener nos parents. Mon père est venu, il était derrière moi et il faisait des steppettes. J’étais fière de voir qu’il s’assumait dans ce qu’il faisait.

L.: Le côté collectionneur de mon père me rappelle de beaux souvenirs, à jaser à la table de cartes de hockey ou de monnaie.

H.: Je dirais que les trois étés que j’ai passés sur le plateau de Sucré salé m’ont changé. J’avais 14 ou 15 ans et l’équipe me parlait comme si j’étais un adulte. Je suis tombé en amour avec ce monde-là, dans lequel mon père m’a guidé avec bienveillance et rigueur. Ça m’a donné la piqûre et maintenant, je termine mes études en théâtre au mois de mai.

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