La langue française à l’honneur pour la 16e Semaine pour l’école publique
Mélia Goulet-Jacques
La Fédération autonome de l’enseignement (FAE) lance aujourd’hui la 16e Semaine pour l’école publique, sous le thème de la langue française.
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Un hommage à ce pilier de l’identité culturelle québécoise, célébré cette année avec un porte-parole tout désigné : l’auteur, collaborateur et amoureux des mots, Simon Boulerice.
Le français, une maison commune
Pour l’écrivain, la langue française dépasse largement son rôle d’outil de communication :
« La langue française est une maison qui nous abrite sous un même toit. Elle unit, elle apaise, elle élève. En tant qu’auteur, je la considère comme une matière vivante, à la fois fragile et puissante, qui me permet de raconter des histoires, de créer des ponts et de nourrir l’imaginaire collectif. »
Un héritage précieux, qui se transmet d’abord et avant tout à travers l’école publique.
Langue de rassemblement et de cohésion sociale, le français est au cœur de la réussite éducative, autant pour les jeunes générations que pour les personnes nouvellement arrivées au Québec. La Semaine pour l’école publique rappelle ainsi que l’école n’est pas seulement un lieu d’apprentissage : c’est aussi un espace où se construit la culture, la créativité et l’avenir commun.
Une école publique forte et inclusive
En célébrant la langue française, la FAE souhaite réaffirmer l’importance d’une école publique forte, inclusive et accessible à toutes et à tous. Pour Simon Boulerice, qui se dit lui-même « fruit de l’école publique », il s’agit d’une richesse collective incomparable :
« L’école publique permet à tous les élèves, jeunes et adultes, d’avoir accès à la culture. C’est ce qu’elle a de plus beau, et je lui voue une admiration sans borne. »
La Semaine pour l’école publique devient ainsi une occasion de reconnaître le travail essentiel des enseignantes et enseignants, tout en célébrant la langue française comme vecteur de fierté et de cohésion.
Revoyez le passage de Simon Boulerice ci-dessus
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