L.J. Mooney ne retient que du positif de Montréal
Agence QMI
Choix de quatrième tour du Canadien au dernier repêchage de la Ligue nationale (LNH), L.J. Mooney n’a évidemment pas encore disputé un match en carrière à Montréal, mais il a déjà une impression plus que favorable de la ville et de l’organisation.
• À lire aussi: Joshua Roy à la croisée des chemins?
• À lire aussi: Canadien : Patrik Laine est-il l’homme en trop à l’attaque?
• À lire aussi: À travers le tumulte contre les Sénateurs, un jeune pourrait avoir confirmé sa place avec le Canadien
Sélectionné au 113e rang, l’attaquant américain a eu droit à un aperçu de ce qui l’attend dans quelques années lorsqu’il a participé au camp de développement du CH l’été passé. Et ce qu’il a retenu lui servira précieusement dans les saisons futures. Les interactions avec l’équipe sont bonnes, particulièrement avec le directeur du développement hockey, Adam Nicholas, et le directeur du développement des joueurs, Rob Ramage.
Toutefois, il y a aussi les plus fidèles amateurs de la Sainte-Flanelle qui le soutiennent, même s’il est encore loin de la LNH.
«Je reçois encore des messages textes des partisans, c’est franchement bien. Je ne savais pas à quoi m’attendre de leur part, mais c’est vraiment incroyable, a-t-il déclaré dans une entrevue diffusée par le site RG.org mercredi. Vous ne pouvez pas être fâchés contre eux. Ce sont les gens qui vous appuient et cet encouragement vient de loin. Cela montre à quel point ils se soucient du club.»
«[...] Cela me motive réellement.»
D’ailleurs, le hockeyeur ne manque pas de sources d’inspiration. Il n’a qu’à regarder en direction de son cousin Logan Cooley pour en identifier une. Cependant, au sein du bassin d’espoirs du Tricolore, il y a entre autres Luke Mittelstadt qui devrait l’aider à se dépasser; les deux athlètes évolueront avec les Golden Gophers de l’Université du Minnesota en 2025-2026.
«J’ai pu rencontrer Luke une première fois. Il a excellé et miser sur lui là-bas [sera super], car il fut un grand leader pour cette formation», a-t-il complimenté.
À 5 pi et 7 po, Mooney tentera de confondre certains sceptiques en suivant l’exemple de Lane Hutson, un joueur de gabarit similaire. Pendant le camp auquel il a pris part, il a aussi offert un bref échantillon de ses capacités en s’illustrant dans les matchs intraéquipes.