Julie Bélanger: Découvrez le rêve qu'elle a réalisé cet été
Ne manquez pas la seizième saison de «Ça finit bien la semaine», les vendredis 19h, à TVA et sur TVA+.
Victor-Léon Cardinal
Après avoir passé un été à se ressourcer, Julie Bélanger nous promet une 16e saison de Ça finit bien la semaine riche en surprises et en belles rencontres! L’animatrice nous parle sur ce qui attend les téléspectateurs et se confie sur la réalisation d’un rêve qu’elle caressait depuis longtemps.
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C’est avec le plus grand des bonheurs que Julie Bélanger retrouve son coanimateur Jean-Michel Anctil pour une toute nouvelle saison de Ça finit bien la semaine, qui s’annonce haute en couleur. «Retrouver Jean-Michel, c’est comme retrouver un frère. Nous avons un plaisir sincère à travailler ensemble. Avec les années, la chimie s’est installée et nous savons exactement où l’autre veut s’en aller, sans même avoir à se parler. On s’épaule l’un et l’autre et on a beaucoup de plaisir. Coanimer une émission comme Ça finit bien la semaine, ça crée des liens pour la vie.»

Des rencontres plus longues
Julie Bélanger souligne que l’émission nous revient cet automne dans une formule différente des saisons précédentes. «Nous avons décidé de dépoussiérer le concept afin de revenir aux sources et à l’essence d’un talk-show. Nos émissions tourneront donc davantage autour des entrevues. Nous adopterons un ton qui se rapproche de celui des balados. On part ainsi en quête de vérité afin de laisser plus de place aux côtés imparfaits de nos invités. Il n’en demeure pas moins que nous aurons toujours autant de plaisir sur le plateau.»
Des invités rêvés
Bien qu’elle amorce sa 13e saison à la coanimation de Ça finit bien la semaine, Julie Bélanger garde toujours en tête une liste d’invités qu’elle rêve de recevoir un jour en studio. «J’ai le désir de recevoir un jour le couple Julie Masse et Corey Hart. C’est pour moi un fantasme d’adolescence de les rencontrer. Dans ma jeunesse, je tripais sur Julie Masse! Elle était mon modèle et je rêvais d’être comme elle. Je ne crois d’ailleurs pas être la seule à avoir été marquée par ce couple-là. Sinon, j’ai aussi le goût de recevoir de nouveaux talents et de les mettre en lumière. Parmi eux se trouve la chanteuse Claudia Bouvette, que j’aime beaucoup. De plus, Jean-Michel et moi aimons recevoir des vieux de la vieille. Cette saison serait pour nous une belle occasion de recevoir Breen LeBoeuf, qui compte parmi les derniers rockeurs du Québec. J’aurais plein de questions à lui poser.»
De nouveaux projets en préparation
Depuis qu'elle a produit et animé en 2022 la série documentaire Imparfaite, dans laquelle elle abordait des sujets percutants avec différentes personnalités, Julie Bélanger continue d'alimenter son amour pour le métier de productrice. «Lorsque j’ai quitté la radio, après 14 ans en ondes à Rythme, j’avais plus de temps dans mon horaire. J’ai vu là l’occasion de me lancer dans la production. Depuis maintenant trois ans, je suis productrice associée sur Ça finit bien la semaine. J’ai ainsi mon mot à dire sur le contenu de l’émission et je peux aller au bout de mes idées. J’aime avoir les mains sur le volant et me trouver à la table où l'on discute des grandes orientations à prendre.»
L’animatrice se dit d’ailleurs toujours intéressée à produire un nouveau projet documentaire. «J’ai actuellement des projets en développement, dont je ne peux pas encore parler. Je me sens bénie des dieux de travailler encore sur des projets pour la télévision, dans le contexte actuel difficile que connaît le milieu. Une chose est certaine, j’ai une belle année devant moi. Je la prends et je dis merci!»
Un rêve devenu réalité
Alors qu’elle a pu profiter d’une longue période de vacances, Julie Bélanger souligne avoir réalisé récemment un rêve qu’elle chérissait depuis longtemps. «Cet été, mon chum et moi avons réalisé un grand rêve de vie: nous avons acheté un chalet sur la Côte-Nord! L’occasion s’est présentée à nous par le biais de ma cousine, qui connaissait quelqu’un qui vendait sa propriété dans la région. Tout s’est réglé en près de 24 h. Il s’agit à ce jour de la meilleure décision de notre vie. D’avoir une place où vivre là-bas est encore mieux que je l’avais espéré.»
L’animatrice se rapproche ainsi de ses parents et de sa famille. «Nous sommes à 10 minutes de chez mes parents, dans une maison située devant la plage où j’ai passé mon adolescence. Cet été, je voyais des rorquals et des bélugas passer devant chez moi. C’était magique! J’en ai profité pour me promener sur la plage avec mes chiens, organiser des soupers en familles et voir des amis. Chaque fois que je retourne sur la Côte-Nord, ça me fait du bien. Je me verrais peut-être un jour retourner y vivre à temps plein.»
Un couple fort
C’est d’ailleurs dans son nouveau havre de paix que Julie Bélanger soulignait, en juillet dernier, ses 20 ans d’amour avec son époux, Ken Shuglo. «Nous sommes rendus à 20 ans de couple et à 13 ans de mariage. Pour souligner notre anniversaire de couple, on s’est organisé une petite soirée intime au chalet. On s’est préparé une bonne bouffe et on a mangé à l’extérieur, devant la plage. La simplicité nous va bien et nous n’avons pas besoin de grand-chose pour être heureux.»
Après 20 ans, les tourtereaux continuent toutefois de travailler chaque jour sur le bien-être de leur couple. «Après toutes ces années, il y a encore des choses qu’on ne comprend pas l’un de l’autre. C’est un travail de tous les jours et nous continuons d’investir dans notre couple. Pour moi, Ken restera toujours un pilier dans ma vie.»
Une belle histoire d’amour
L’animatrice nous rappelle que c’est à la maternelle qu’elle a rencontré, pour la première fois, l’élu de son cœur. «Comme moi, Ken est natif de Port-Cartier. Sa grand-mère était la meilleure amie de la mienne. On s’est ainsi toujours connus sans se connaître. Lorsque je suis arrivée à Montréal, je me tenais avec sa sœur. Ken est un jour apparu dans l’une de nos soirées. En discutant ensemble, on a tout de suite cliqué. C’est un peu comme si nos grands-mères avaient tricoté notre histoire d’amour.»
Le plaisir de vieillir
Par ailleurs, après avoir souligné ses 50 ans, en septembre 2024, Julie Bélanger souligne être en harmonie avec le fait de vieillir. «La cinquantaine se passe très bien pour moi. Je suis même mieux dans ma peau à 50 ans que je ne l’étais à 20 ans. À 50 ans, on arrête de perdre notre temps avec des niaiseries et on fait attention à soi. Contrairement à ce que certains peuvent penser, je trouve que c'est le fun de vieillir pour une femme. Au-delà des désagréments, je trouve que le positif l’emporte sur le négatif. Je suis vraiment dans une période privilégiée de ma vie», s’exclame-t-elle en terminant.