Jocelyne Cazin rejetée par la police à deux reprises en raison de son statut matrimonial
Pierre-Luc Houle
Avant de devenir l’une des journalistes les plus respectées du Québec, Jocelyne Cazin rêvait de porter l’uniforme policier. Invitée du premier épisode de la deuxième saison de Je t’attendais, animée par Véronique Cloutier et Jean-Sébastien Girard, elle a révélé avoir tenté à deux reprises de se joindre aux rangs policiers... en vain.
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La célèbre personnalité médiatique a révélé que ses candidatures auprès de la Sûreté du Québec et de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) avaient à l'époque été rejetées pour un motif particulièrement étonnant: son statut matrimonial.

«J’ai fait deux tentatives à la police provinciale et aussi à la GRC. On m’a refusée parce que je n’avais pas de statut officiel. J’étais séparée, mais je n’étais pas divorcée. Je n’étais plus mariée... donc je n’ai pas pu entrer dans la police», a-t-elle confié, sous les regards étonnés de Linda Malo et Claude Legault, présents sur le plateau.
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Si son rêve de devenir policière ne s’est jamais concrétisé, Jocelyne Cazin a néanmoins trouvé une voie parallèle qui lui a permis de se rapprocher de cet univers. Journaliste spécialisée dans les faits divers, puis animatrice de l’émission J.E aux côtés du regretté Gaétan Girouard, elle a couvert pendant des décennies des dossiers sensibles et marquants, donnant à sa carrière une portée immense.
En 2001, elle avait toutefois pris une décision radicale: quitter l’animation de J.E après avoir découvert que son visage figurait à la une du Journal de Montréal, sur une liste noire des Hells Angels.

Une carrière hors du commun pour celle qui, malgré les obstacles rencontrés à ses débuts, est parvenue à tracer un chemin unique dans le paysage médiatique québécois.
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