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L'article provient de TVA Sports
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Courtisé par des équipes de la LNH: le téléphone de Pascal Vincent aurait commencé à sonner

Il a probablement eu des discussions avec des équipes de la LNH qui cherchent un nouvel entraîneur

Photo Agence QMI, JOËL LEMAY
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Photo portrait de Dave Lévesque

Dave Lévesque

2025-05-12T19:47:58Z
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Il a été question de l’avenir de Pascal Vincent la semaine dernière et l’entraîneur-chef du Rocket a indiqué que sa tête était toujours à Laval.

• À lire aussi: «C’est un merveilleux problème»: Pascal Vincent entretient le mystère quant à son gardien partant pour le match no 1

Mais, si on lit entre les lignes, on comprend qu’il se fait courtiser par les équipes de la LNH qui n’ont pas d’entraîneur. Pittsburgh, Seattle et Vancouver sont à la recherche d’un nouveau pilote, tandis que Boston, Chicago et Philadelphie ont des entraîneurs qui n’y sont que de façon intérimaire pour le moment.

La semaine passée, Vincent a laissé entendre qu’il pourrait être à l’écoute s’il avait des trous dans son horaire chargé, mais a aussi affirmé que, quand on tient à quelqu’un, on est capable de l’attendre.

«Je ne veux pas dire que je n’ai pas eu des conversations, mais mon point était que durant les séries, s’il y a de l’avancement dans les conversations et qu’il y a un intérêt qui devient de plus en plus sérieux, je veux mettre le focus sur le Rocket.

«Par contre, les journées de congé ou les journées où il n’y a qu’un entraînement, je suis capable de leur parler aussi.»

Pas d’entrevue

Ce qu’on comprend, c’est qu’il a possiblement eu des discussions préliminaires avec une ou des équipes, mais rien de plus poussé pour le moment.

«Au début, les équipes veulent juste apprendre à te connaître, donc il n’y a que des conversations qui ne sont pas très poussées. Ce que je n’ai pas fait et ce que je ne ferai pas, c’est me préparer en profondeur pour une entrevue. Je n’ai pas le temps de faire ça, mon énergie est dirigée vers le Rocket.»

On sent que le respect et la loyauté sont des valeurs importantes pour l’entraîneur qui a grandi à cinq minutes de l’endroit où se trouve la Place Bell aujourd’hui.

«Des fois c’est simple de faire les bonnes choses et pour les bonnes raisons. Je suis un Canadien. Je suis un Rocket. Je vais être là jusqu’à ce que je ne le sois plus.»

Pascal Vincent a signé une entente de trois ans avec le Canadien l’été dernier.

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