Il partage les photos de leur mariage: dès le départ, Félix Auger-Aliassime savait qu’il épouserait un jour sa copine


Jessica Lapinski
Dès les balbutiements de leur relation, tant Félix Auger-Aliassime que Nina Ghaibi savaient qu’un jour, ils se marieraient. «Je ne veux pas que ça sonne comme un cliché, mais c’était vraiment l’amour au premier regard», a confié le joueur de tennis québécois au magazine Vogue dans les derniers jours.
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Les tourtereaux, qui se sont rencontrés en mars 2019, ont uni leur destinée samedi dernier à Marrakech, au Maroc, d’où est originaire le père de la mariée.
Après seulement deux heures
C’est dans le cadre du Masters 1000 de Miami que Félix a remarqué celle qui allait éventuellement devenir son épouse. «Je n’arrivais plus à la chasser de mes pensées, a-t-il raconté. Je voulais vraiment la rencontrer avant de quitter la ville et je ne voulais pas avoir de regrets.»
Au grand soulagement de celui qui avait alors 19 ans, Nina Ghaibi a accepté son invitation à souper. «J’étais plutôt soulagé quand j’ai vu qu’elle était ouverte à l’idée», s’est-il souvenu.
«Deux heures [après le début du rendez-vous galant], je lui ai dit que c’était le début d’un beau et long futur ensemble. Et après quelques jours, on savait tous les deux qu’un jour, on se marierait», a relaté le 13e joueur au monde.
Une lettre qu’il avait conservée
Peu après le début de leur relation, Félix a écrit une lettre à la jeune femme, qui avait elle aussi 19 ans à l’époque. Il la lui a donnée le jour de leurs fiançailles, en novembre dernier, aux Seychelles. «On relaxait sur le balcon quand je lui ai demandé d’aller chercher mon calepin de notes à l’intérieur de la chambre d’hôtel», a évoqué le joueur.
Mais ce n’était pas vraiment un calepin de notes. C’était plutôt la fameuse lettre écrite le 5 mai 2019. Dans celle-ci, «FAA» mentionnait à quel point il était persuadé que le jeune couple serait toujours ensemble des années plus tard.
Auger-Aliassime attendait aussi sa douce avec une bague, sur le balcon.
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Il aurait voulu que le moment n’arrête jamais
Le couple s’est finalement marié devant 120 invités, dans ce qu’Auger-Aliassime a décrit au Vogue comme une cérémonie «privée, chaleureuse et remplie d’émotions». «C’est ce à quoi nous avions rêvé», s’est-il réjoui.
La mariée, une cavalière qui vivait aux États-Unis au moment de leur rencontre, mais aux origines marocaines et croates, était vêtue d’une robe Vera Wang. Quant à Félix, c’est un complet sur-mesure Dior qu’il avait choisi pour le grand jour.
«On a dansé, chanté et ri comme s’il n’y avait pas de lendemain. J’aurais aimé pouvoir arrêter le temps, a raconté Félix. C’est un sentiment doux-amer de savoir que ces moments sont désormais devenus des souvenirs.»
«Je chérirai pour toujours l’image de ma magnifique femme qui descend l’allée avec son père. Un jour, nous raconterons [ces souvenirs] à nos enfants.»