«Freak Offs» de Diddy: voici ce qui pourrait en ressortir en cour
Sarah-Maude De Rive
Les terribles fêtes bourrées d'illégalités de Sean Combs pourraient bien figurer parmi les pièces à conviction de son procès.
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Les choses déboulent et les accusations se multiplient plus la date de sa comparution en cour approche, et Diddy pourrait être condamné par les révélations qui reviennent toujours au même point d'origine: ses odieux «Freak Offs». Selon l'Associated Press, le questionnaire judiciaire soumis par ses avocats contient justement des questions sur la volonté des jurés potentiels de visionner en cour des vidéos sexuellement explicites ou des vidéos montrant des agressions physiques.
Ledit questionnaire à l'intention du jury aurait plus de 70 questions, à un tel point que les procureurs l'auraient qualifié de trop long et potentiellement confus. On en comprend donc que le procès de Sean Combs sera une lourde affaire, et impliquera l'analyse d'extraits de ses fêtes ou il aurait orchestré l'utilisation de substances illicites pour soumettre ses invités à ses machinations, impliquant de prétendues violences sexuelles.
Ce seraient ces nombreux événements de débauche, dont les vidéos incriminantes n'ont pas été dévoilées, qui se trouveraient à l'origine les cinq chefs d'accusation reçus par Diddy; soit deux chefs d'accusation de trafic sexuel, deux chefs d'accusation de transport à des fins de prostitution et un chef d'accusation de racket.
Continuant de plaider non-coupable, il se défendra en cours dès le 12 mai.
