«Être vendeur, c’est interdit chez les Sénateurs»
Agence QMI
La course aux séries dans l’Association de l’Est s’annonce corsée jusqu’à la fin du calendrier régulier et encore de nombreuses équipes sont dans le coup, dont les Sénateurs d’Ottawa, qui espèrent fortement mettre fin à une longue disette sans matchs d’après-saison.
• À lire aussi: Des éloges du CH pour un joueur que personne n’aime affronter
• À lire aussi: Des poupées vaudou vendues pour nuire aux adversaires du CH
• À lire aussi: «J’aimerais signer ici» - John Tavares
Avec la présence d’un nouveau propriétaire (Michael Andlauer) à la tête de la concession et du talent suffisant dans l’effectif, les attentes ont été rehaussées dans la capitale fédérale, où les derniers matchs éliminatoires du club ont eu lieu au printemps 2017. Cependant, avec 62 points au compteur, la formation est loin d’être assurée de prendre part à la grande danse : avant les duels de mardi soir, elle détenait le dernier laissez-passer des équipes repêchées.
Certes, une autre exclusion constituerait un véritable échec et d’ailleurs, personne ne devrait pas prévoir une vente de feu à Ottawa d’ici la date limite des transactions le 7 mars. C’est du moins l’avis du journaliste Renaud Lavoie.
«Si tu es à la place des Sénateurs d’Ottawa, tu ne peux pas être un vendeur. C’est interdit! Il faut même être plutôt un acheteur d’une certaine façon, malgré que ta place en séries peut disparaître du jour au lendemain. Tu peux te retrouver dans une situation différente à chaque soir», a-t-il affirmé pendant le segment «La Mise en échec» de l’émission JiC.
À VOIR EN VIDÉO PRINCIPALE.