Éric Lapointe nous parle de son documentaire
Samuel Pradier
Éric Lapointe a accepté de se confier comme jamais auparavant dans une série documentaire dont les trois épisodes sont disponibles sur Crave.
«J’ai hâte de voir la réaction du public, a confié le rockeur à la première de François Bellefeuille. J’ai vu le résultat final, et je pense que les gens vont encore apprendre des choses sur moi, c'est sûr. Je ne peux pas être plus transparent que dans ce documentaire. Ce n’est pas complaisant, ce n’est pas de la promotion, c’est vraiment Éric, le gars ordinaire, dans les coulisses d’une vie pas ordinaire.» Le chanteur poursuit également ses deux tournées — acoustique et rock —, en parallèle pour les prochains mois. «Je suis content de faire le spectacle acoustique, on voit les chansons sous un jour différent. C’est complètement autre chose. Je m’amuse beaucoup. Je trouve ça le fun de pouvoir faire les deux, parce que ce sont deux énergies différentes, mais qui se complètent bien.» Éric Lapointe va finir l’année avec un gros spectacle au centre Vidéotron, le 31 décembre prochain. «Pour clôturer cette année, qui était finalement une année de célébration des 30 ans de mon premier album, Obsession, on va finir ça en défonçant l'année avec plein d'invités surprises, qui seront annoncés très bientôt.»
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Maxim Martin
Une passion qui ne s’éteint pas
C’est au bras de Marie, sa meilleure amie depuis 15 ans, que Maxim Martin est arrivé à la première du nouveau spectacle de François Bellefeuille, mardi. Actuellement en tournée, l’humoriste cumule plus de 35 ans de carrière. «Une carrière est toujours en évolution. J’ai encore du fun à faire le rodage dans les petites salles, à aller dans les petites villes. Ensuite, il y a la récompense de faire de grandes salles. C’est peut-être cliché, mais à travers tout ce que j’ai vécu dans ma vie, la plus belle thérapie, c’est d’entendre du monde rire, et de savoir que je suis encore pertinent après tout ce temps. C’est un beau défi de vie, et en même temps, c’est la seule job que je connais.» D’ailleurs, la tournée de son spectacle Bon chien devrait s’étendre jusqu’à l’automne 2027. Maxime Martin est aussi de retour à la radio de CKOI, cet automne, et il vient de finir son deuxième livre. «C’est la suite du premier, Excessif, dans lequel je parle des murs qu’on frappe parfois et des conséquences que ça entraîne.»

Valérie Roberts
Un déménagement et un nouveau livre
Valérie Roberts et son conjoint, Martin Juneau, ont annoncé, il y a un mois, qu'ils vendaient leur maison à Montréal pour aller s’installer dans une maison centenaire sur le bord du fleuve, à Boucherville. «Dans les dernières années, je trouve que la qualité de vie à Montréal s'est pas mal dégradée, a confié l’animatrice. J'étais rendue moins heureuse dans la ville que je l'ai déjà été. Pourtant, j'ai toujours été Montréalaise, j'ai toujours capoté sur la ville, et je me suis même toujours définie par le fait que j'étais une fille de la ville. Mais je ne suis pas d'accord avec la manière dont Montréal a été gérée dans les dernières années. Je trouve ça plus sale, je me sens moins en sécurité, et j'ai un enfant de quatre ans qui va commencer l'école l'année prochaine. Toutes ces réflexions sont entrées en ligne de compte.» La décision s’est prise d’autant plus rapidement que le couple a eu un coup de cœur pour leur nouvelle maison. «C'est une maison bicentenaire incroyable qui a beaucoup d'histoire. Je l'adore et j'ai hâte d'y habiter. Mais quitter Montréal, ça va vraiment me faire mal. J'ai l'impression que je quitte en l’aimant encore. C'est comme une rupture, mais qu'on aime encore la personne.» Du côté professionnel, Valérie Roberts est toujours à la radio et vient de finir son prochain livre. «J'ai écrit sur la belle-mère, j'ai écrit sur la mère, et là, j'ai écrit sur la femme. Ce sera un livre sur le féminisme, une réflexion sur le monde actuel en mouvement, comment je pense qu'il va falloir qu'on soit plus proactifs dans notre féminisme, l'accepter davantage, le mettre davantage de l'avant, pourquoi ce mot féminisme fait peur à certains... C'est un essai qui devrait sortir au début de l'année prochaine.»

Jean-François Mercier
Il ne veut plus provoquer juste pour choquer
À quelques semaines de la première de son nouveau spectacle, intitulé Avis d’ébullition, Jean-François Mercier explique qu’il l’a écrit différemment de ses précédents. «J'ai écrit un gros bloc, et après ça, j'ai réécrit selon des affaires qui marchaient et qui ne marchaient pas. J'ai retiré pas mal de provocations inutiles» Un vent de sagesse se serait-il emparé de lui, ou est-il fatigué de gérer des controverses? «Je n'ai rien contre le fait de choquer les gens, à condition d'être capable d'aller les rechercher après. Mais quand je vois qu'ils décrochent, je n'ai pas l'impression d'avoir réussi. On s'ajuste au niveau où les sensibilités sont rendues.» Plutôt discret sur ces amours dans les dernières années, Jean-François Mercier est en couple depuis près de deux ans et demi avec Fanny, suite à une rencontre en ligne.

Sylvi Tourigny
Elle planche déjà sur son prochain spectacle
Actuellement en tournée, Sylvi Tourigny est encore impressionnée de voir ses salles pleines de monde. «Je capote à chaque soir de savoir que les gens ont payé pour que je les divertisse. Je n’en reviens pas.» Elle est aussi contente d’avoir su parfaitement bien doser l’apparition de son double, Carole, en première partie, pour pouvoir se présenter sous son vrai jour après. «J'ai beaucoup de plaisir, et les gens aussi sont contents de la voir.» En parallèle, elle a déjà commencé à écrire son prochain spectacle. «Il y a tellement de gens qui m'ont dit que le plus difficile à écrire, c’était le deuxième. J'ai tellement eu de temps pour préparer le premier que j’aime mieux me m'y prendre d'avance. J'ai un côté très rationnel, je suis une bonne élève. Je vais commencer à roder certains numéros tranquillement. Et dès que ma tournée est finie, je vais être prête à repartir.» Sylvi Tourigny a récemment fait une entrevue et une séance photo avec son fils Charli, 11 ans, qui semble avoir pris goût à l’exercice. «Il a adoré l'entrevue. Il aime ça et il vient parfois avec moi sur les plateaux de télé. Par contre, il a détesté la séance photo, il n’était vraiment pas à l’aise. Mais bon, il continue quand même de vouloir être monteur de lignes.»