Début de la saison 10 de Chicago Fire : Caserne 51
Christine Fortier
L’opération de sauvetage dirigée par Kelly pour secourir l’homme prisonnier sous la coque de son bateau s’éternise. Alors que Matthew s’apprête à intervenir, les pompiers remontent à la surface, mais l’un d’eux ne respire plus. Entre-temps, le chef Boden apprend une nouvelle qui a des répercussions sur la caserne 51.
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L’action de l’épisode commence où elle s’était interrompue à la fin de la neuvième saison. Kelly, Joe, Capp, Tony et le passager du bateau qu’ils tentent de secourir sont toujours bloqués quelque part dans l’embarcation qui s’enfonce dans l’eau. Trouver une ouverture qui leur permettra de sortir du navire et remonter à la surface est de plus en plus urgent, car leurs bombonnes d’oxygène sont vides.
Sur la berge, Matthew, Stella et les autres pompiers de la caserne 51 observent ce qui se passe avec inquiétude. Lorsque Matthew estime que trop de temps s’est écoulé depuis le début de l’opération, il demande à un garde-côte de venir le chercher, même s’il ne peut rien faire sans équipement de plongée. Les pompiers finissent par remonter à la surface, et c’est Matthew qui prodigue les premiers soins à Joe, qui ne respire plus. Joe reprend le travail deux semaines plus tard, mais le cœur n’y est plus. Il trouve la situation encore plus lourde à porter lorsque Capp et Tony lui apprennent que Kelly a risqué sa vie pour le sauver.
Du changement dans l’air
Le jour du retour de Joe, le chef Boden reçoit un message de la directrice adjointe Hill, qui l’informe de la publication du communiqué de presse relatif à sa promotion au grade d’adjoint au chef de district. Par la même occasion, elle l’autorise à annon- cer la nouvelle à sa brigade. Les pompiers sont heureux pour leur chef, même si cela signifie qu’ils ne le verront plus aussi souvent et que leurs ordres viendront désormais du chef de bataillon Murphy, de la caserne 19.
Ce soir-là, Boden passe au Molly’s pour reparler de sa promotion avec Stella, car il a eu l’impression qu’elle était contrariée de l’apprendre. Elle reconnaît qu’il ne s’est pas trompé. Elle ne veut pas qu’il parte, parce que les pompiers du centre de secours 51 forment une famille grâce à lui. S’il s’en va, plus rien ne sera pareil. Stella dit cela à Boden tout en sachant que c’est terriblement injuste de sa part de lui demander de choisir entre une promotion méritée et le bien-être des troupes qu’il dirige depuis des années.
Sur le terrain
Entre-temps, Sylvie et Violet sont envoyées chez une femme en crise qui lance de la vaisselle par la fenêtre de son logement. Violet est épatée par la facilité avec laquelle Sylvie apaise la femme, qui appelle régulière- ment les ambulanciers. Par la suite, toutes les unités sont déployées pour répondre à une alerte concernant un incendie dans un immeuble à logements. Une locataire dit à Boden que son fils de 15 ans n’a pas eu le temps de sortir de leur appartement. Il s’est réfugié sur le toit, mais durant la manœuvre organisée pour le secourir, Stella et Gallo passent à travers la toiture trop endommagée par le feu. Tandis que Matthew s’efforce de rejoindre le garçon qui a besoin d’aide, Kelly et Joe cherchent Stella et Gallo.
DIVERSIFICATION ÉCONOMIQUE
Dans les derniers épisodes de la neuvième saison, Ritter, Gallo et Violet ont évoqué la possibilité de se lancer en affaires pour augmenter leurs revenus. Christopher, Mouch et Stella ont le Molly’s, Matthew est entrepreneur en construction dans ses temps libres, et Joe a inventé le slamigan. Le sujet revient sur la table quand Christopher demande à Gallo de payer son ardoise au Molly’s. En voyant la réaction de ce dernier à la vue du montant inscrit sur la facture, Ritter répète qu’il leur faut absolument un deuxième boulot. Mais encore faut-il qu’ils s’entendent sur l’activité! Ritter propose de créer une sauce piquante, Violet suggère une collection de bougies, et Gallo, un magasin de fleurs. Étant donné qu’ils ne parviennent pas à discuter calmement de leurs idées, Ritter choisit une méthode qui leur permettra de commenter les suggestions de chacun sans que cela dégénère en guerre.