Cette créatrice OnlyFans fait un tollé en partageant une vidéo qui ne passe pas du tout

Devant la levée de boucliers qu’avait soulevée la publication de sa vidéo clivante, la fille de l’UQÀM avait supprimé l’objet de la polémique. Mais voilà qu'elle revient à la charge en publiant à nouveau la vidéo et en expliquant sa décision dans un long TikTok. 

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«On trouvait ça ben normal, ben drôle, pis ben, c'est pas drôle»: la controverse a explosé hier alors que Hélène Boudreau, créatrice de contenu réseaux sociaux et OnlyFans, s'est filmée en paraissant allaiter un bébé qui n’est pas le sien.

Voici une chronologie des événements qui ont poussé Hélène à devoir s'expliquer:

De passage à Las Vegas pour rendre visite à sa bonne amie Sania Mallory (une créatrice de contenu érotique québécoise établie dans la ville du vice), Hélène Boudreau a créé plusieurs publications avec cette dernière. 

Parmi celles-ci figurait une courte vidéo qui a soulevé plusieurs enjeux éthiques. Elle y montrait Sania Mallory en train d’allaiter un enfant qui est le sien (elle a accouché il y a environ trois semaines) avant de mettre son bébé dans les bras d’Hélène, qui lui donnait aussitôt le sein.

Les commentaires qui se sont rapidement accumulés sous la publication étaient sévères et les accusations nombreuses: abus d’enfant, sexualisation d’un bébé et de l’allaitement, menace d’appeler la DJP, etc. Boudreau a donc retiré la vidéo.

Puis, coup de théâtre: elle a remis la vidéo en ligne quelques heures plus tard et la productrice de contenus exotiques revient sur l’événement dans un long TikTok.

Si elle admet d’emblée qu’il s’agit d’une vidéo «vraiment de mauvais goût», elle n’est pas d’accord avec les accusations de sexualisation de l’enfant. Elle a donc pensé à tout ça pendant un rendez-vous chez le dentiste et a choisi de remettre la vidéo en ligne.

«Je ne peux pas croire que je fais une vidéo explicative de la vidéo d'allaitement [...] Le bébé n’a pas pris mon tittie. Même pas proche. Même si ç’a l’air de ça dans la vidéo. Le monde est outré parce qu'on sexualise l'allaitement. Moi je ne l'avais pas vu comme ça. C’était juste une blague de “entre soeurs, on partage tout”. C’était même pas pour faire la promotion de mon OnlyFans. Je fais plein de choses dans ma vie, tout n'est pas pour mon OF.»

Vous pouvez écouter ses explications de quelques minutes ici:

La fille de l’UQÀM continue en disant que les plaintes viennent beaucoup de ses consoeurs productrices de XXX, ce qu’elle déplore. «Les filles de OF sont des rats.» Elle tient aussi à dire qu'elle sait que le poupon n'est pas en âge de consentir à la vidéo, mais que les deux parents avaient donné leur accord, et que «toutes les mamans qui postent leurs enfants sur les réseaux sociaux, leurs enfants n'ont pas donné de consentement».

En story sur Instagram, l'influenceuse s'est ensuite moqué des accusations de ses abonnés et de la connotation sexuelle que «c'est vous qui faites», alors que certains affirment qu'elle pourrait même se retrouver en prison. En partageant les commentaires lancinants reçus, elle a tourné la situation à la blague en rigolant que son chat était triste de devoir être saisi par la DPJ.

Voilà où en est rendue la saga. On vous tient au courant de la suite, s'il y a lieu!

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