Catherine Brunet dit franchement sa manière de penser sur cette star américaine et son nouveau produit
Sarah-Émilie Nault
N'ayant pas peur de prendre la parole, Catherine Brunet s'est prononcée sans filtre sur la dernière lubie de la magnat de la beauté.
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Plusieurs personnalités d’ici et d’ailleurs dénoncent la manière dont Kim Kardashian profite des insécurités des femmes pour vendre des «accessoires beautés» comme son nouveau (controversé) masque gainant. «Kim, on le sait que tu te strap pas la face», a écrit l’actrice québécoise Catherine Brunet sur Instagram.
Féministe assumée prenant souvent la parole publiquement pour défendre les doubles standards imposés et les injustices que vivent les femmes, l’actrice Catherine Brunet a partagé son indignation devant la nouvelle lubie de Kim Kardashian: les masques faciaux gainants qu’il faut porter la nuit dans l’espoir d’avoir une mâchoire plus définie.
En publication éphémère sur Instagram, l’actrice qui sera de la pièce de théâtre Québec-Montréal a tout d’abord partagé une citation en anglais de la réputée autrice Tova Leigh:
«Kim Kardashian n’a pas inventé les standards de beauté toxiques. Mais elle en profite assurément beaucoup. Voici à quoi ça ressemble quand les insécurités deviennent un modèle d’affaires.»
Prison de beauté
Catherine Brunet a ensuite partagé le lien d’un article intitulé Le masque de Kim Kardashian est le summum de la féminité dystopique (Comment le sommeil se transforme en une nouvelle prison de beauté).
La comédienne de 34 ans a elle-même écrit «Après, j’arrête, c’est juste que je la hais depuis tellement longtemps pour tout ça» en légende d’une photo de Kim Kardashian avec deux mannequins portant ses fameux masques faciaux.
«Kim, on le sait que tu te strap pas la face. Tu as assez d’argent pour des injections quotidiennes and good for you girl, mais essaye pas de nous vendre ta muselière à 50$ comme si c’était le secret de ta jeunesse éternelle», ajoute-t-elle.
Alors que les masques gainant de Kim Kardashian sont en rupture de stock, plusieurs personnalités et gens du public s’allient pour dénoncer la mise en vente de ce genre de produit misant sur les insécurités des femmes.
