8 exploits pour comprendre la légende de Ken Dryden

Jean-Nicolas Blanchet
Il a joué durant 8 ans dans la LNH. Il a remporté 6 coupes Stanley.
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Il est le seul joueur dans l’histoire de la LNH à avoir remporté le trophée Conn Smythe (remis aux meilleurs joueurs des séries) avant de remporter le trophée Calder (meilleure recrue de la saison), l’année suivante.

En carrière, que ce soit en saison ou en séries, il a remporté 74 % de ses matchs (249/338). C’est facilement le meilleur dans l’histoire de la ligue à ce chapitre.

En carrière, sa moyenne de buts alloués a été de 2,24. C’est donc comparable avec les gardiens d’aujourd’hui même s’il se marquait beaucoup plus de buts à l’époque. Avec Bernard Parent et Tony Esposito, Dryden était le seul gardien qui pouvait afficher de telles statistiques années après année.

Il a réussi 46 blanchissages en 384 départs en carrière. Évidemment, aucun gardien n’en a réussi autant durant la période où il a évolué. Même pas Esposito, Parent ou Rogatien Vachon.

Durant une carrière de huit ans, il a remporté cinq trophées Vézina. Seuls Jacques Plante, Bill Durnan et Dominik Hasek en ont plus.

Ken Dryden a fait son droit durant sa carrière dans la LNH. Il a raté une saison en plein milieu de ses conquêtes de coupes Stanley pour faire son barreau en 1973-1974.

Son livre The Game est considéré par plusieurs comme le plus grand livre jamais écrit sur le hockey.