La DPJ est à la limite d'une dictature, déplore une avocate en droit de la famille
Des mères victimes de violence conjugale et en plein divorce sont jugées « aliénantes » par des intervenantes de la DPJ. En raison de cette étiquette, elles se font carrément retirer la garde de leur enfant. Des avocates spécialisées en droit de la famille et de la jeunesse sont inquiètes du nombre de dossiers semblables qui se retrouvent sur leur bureau. Entrevue avec Me Andreea Popescu, avocate en droit de la famille.
2024-01-16T15:42:58.944Z
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