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L'article provient de TVA Nouvelles
Culture

VIDÉO | Xavier Dolan confirme que son nom était attaché au projet de la série française «Rage» portant sur les skinheads

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Photo portrait de Guillaume Picard

Guillaume Picard

2025-09-26T20:00:00Z
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Le nom de Xavier Dolan est bel et bien attaché au projet de la série française Rage qu’il pourrait réaliser à partir d’un scénario dont il n’est pas l’auteur.

En entrevue avec Sophie Durocher à l’émission Dans le blanc des yeux qui sera diffusée à LCN ce vendredi à 20 h, il a confirmé les informations ayant fuité le 11 septembre dernier dans Variety, à savoir que cette fiction plongera les téléspectateurs dans la France des années 1980 en s’intéressant aux skinheads.

• À lire aussi: «J’en suis pas sorti indemne»: Xavier Dolan a encore mal quand il pense aux critiques américains qui ont écorché son film «Juste la fin du monde»

Xavier Dolan sur le plateau de «Dans le blanc des yeux», l’émission pilotée par Sophie Durocher.
Xavier Dolan sur le plateau de «Dans le blanc des yeux», l’émission pilotée par Sophie Durocher. Photo Martin Chevalier

«Tout ça, c’est vrai», a-t-il dit, enthousiaste, avant d’enchaîner:

«J’ai lu, en fait, le premier épisode. Puis je le trouvais hyper bien écrit, hyper accrocheur. Après, c’est un projet qui est encore à un stade embryonnaire.»

Celui qui a réalisé huit films, plusieurs clips et publicités, mais aussi sa première série télé, La nuit où Laurier Gaudreault s’est réveillé – disponible dans illico+ –, qualifie même le premier épisode de Rage de «foudroyant de talent et d’intelligence», rien de moins. Il sait de quoi il en retourne, lui qui a écrit plusieurs scénarios.

Rage s’alimentera, on le devine, des tensions raciales qui sont toujours d’actualité, sur fond d’immigration massive en Europe.

«Ça parle, si tu veux, de ces contrastes-là, socialement, qui sont évidemment extrêmement actuels en France et en Europe, et partout dans le monde, d’ailleurs. Il y a tout le temps cette division-là encore plus profonde qui continue d’être creusée entre les gens de la société. Puis [c’est] excessivement pertinent d’un point de vue historique, puis d’un point de vue actuel aussi. [...] Donc, j’adorerais y participer.» 

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