Voici les 5 moins mauvais films de Pamela Anderson


Maxime Demers
Icône des années 1990, Pamela Anderson a brillé davantage au petit qu’au grand écran grâce notamment à son rôle de la sauveteuse C.J. Parker dans la série culte Alerte à Malibu. À l’occasion de la sortie de la nouvelle comédie L’agent fait la farce, dans laquelle elle joue aux côtés de Liam Neeson, Le Journal revient sur cinq œuvres plus ou moins marquantes de la carrière cinématographique de l’actrice originaire de la Colombie-Britannique:
Raw Justice (1994)

Avec une note de seulement 20% sur le site d’agrégation de critiques Rotten Tomatoes, on se doute bien que ce film de série B réalisé par David A. Prior n’a pas reçu un accueil très enthousiaste au moment de sa sortie en salle, en 1994. Pamela Anderson y incarne une prostituée qui se retrouve impliquée malgré elle dans l’enquête d’un policier sur le meurtre d’une journaliste de La Nouvelle-Orléans.
Barb Wire (1996)

Pamela Anderson était au sommet de sa gloire quand elle a décroché le rôle de la chasseuse de primes Barb Wire dans cette adaptation de la bande dessinée du même titre. Même si la prestation de l’actrice canadienne a été louangée par plusieurs médias, le film a déçu la majorité des critiques, si on se fie à la note de 28% qu’il se voit attribuer sur le site Rotten Tomatoes.
Film de peur 3 (2003)

Pamela Anderson a fait preuve d’autodérision en acceptant de faire une courte apparition dans cette parodie de films d’horreur aux côtés d’une autre ancienne playmate des années 1999, Jenny McCarthy.
Pamela: A Love Story (2023)

Dans ce documentaire produit par Netflix, Pamela Anderson se confie sans artifice sur son parcours, de son enfance dans la petite ville de Ladysmith, sur l’île de Vancouver, à son ascension à Hollywood après avoir fait la une du magazine Playboy. Elle revient aussi sur le célèbre vol de la cassette de ses ébats sexuels avec son ancien mari, qui a récemment inspiré une série sur Disney+.
La dernière danseuse de cabaret (2024)

À 57 ans, Pamela Anderson a décroché l’an passé sa première nomination aux Golden Globes grâce à sa performance dans ce film de Gia Coppola (la petite-fille du légendaire Francis Ford Coppola). L’actrice y incarne une danseuse de Las Vegas en fin de carrière qui doit réfléchir à son avenir après avoir appris que le spectacle dans lequel elle jouait depuis 30 ans prendra fin abruptement.