Publicité
L'article provient de 7 jours
Culture

Voici dans quel domaine étudie Louis-Thomas, le fils de Mélanie Maynard

"LOL: Qui rira le dernier?" sur Prime Vidéo, dès le 10 janvier

Bruno Petrozza / TVA Publications
Partager

Nathalie Slight

2025-01-23T11:00:00Z
Partager

Lorsque se terminent les enregistrements de Sucré salé, Mélanie Maynard vit une baisse d’adrénaline. Pour éviter la dépression automnale, l’animatrice a mis en place une nouvelle stratégie cette année, et ça a fonctionné!

• À lire aussi: L’équipe de «Salut Bonjour» dévoile son rituel des fêtes

Mélanie, comment t’es-tu préparée à LOL: Qui rira le dernier?

Parce que j'ai participé à plusieurs émissions humoristiques dans ma vie, on dit de moi que je suis une humoriste, mais pas du tout! J'ai toujours eu un syndrome de l'imposteur face à l'humour. Je me suis donc présentée sur le plateau de LOL: Qui rira le dernier? en me disant que j’allais assurément être celle qui sortirait en premier.

C’est vrai qu’on ne t’attendait pas là!

Les premières minutes, je me répétais sans cesse dans ma tête: «Veux-tu me dire pourquoi tu as accepté de faire ça?». Puis finalement, en sortant de là, j’étais heureuse d’avoir participé, parce que c’est le genre de projet qui me sort carrément de ma zone de confort.

Étais-tu nerveuse?

Ce qui m’angoissait le plus, c’était de présenter un numéro d’humour, devant des humoristes qui ne doivent pas rire. La plupart du temps, quand je suis drôle, c’est par accident, c’est-à-dire que je suis dans la lune ou je dis quelque chose qui n’a absolument pas rapport. Dans le fond, c’est mon déficit d’attention qui me rend drôle!

Publicité

Et qu’est-ce qui te fait rire dans la vie?

Il n’y a rien de plus drôle que quelqu’un qui se retient pour ne pas rire. Ça nous arrive régulièrement aux Enfants de la télé: on voit une vidéo, quelqu’un essaie tant bien que mal de garder son sérieux, et finalement, tout le monde craque. Il y a aussi des gens qui me font naturellement rire dans la vie. Mes plus gros fous rires à Sucré salé, je les ai eus avec Patrice Bélanger et Julie Perreault.

Bruno Petrozza / TVA Publications
Bruno Petrozza / TVA Publications

Le retour de l’émission Sucré salé n’a pas encore été annoncé, mais on croise les doigts pour que tu sois de retour. En attendant, qu’est-ce qui t’occupe?

Je prends soin de moi. J’ai remarqué que lorsque la saison de Sucré salé se termine, l’adrénaline tombe, et j’ai une petite déprime automnale. L’an dernier, j’ai consulté physiothérapeute, massothérapeute, psychothérapeute... Bref, tous les «peutes» qui soit! (rires) Cette année, j’ai mis en place une nouvelle stratégie...

Quelle est-elle?

J'ai commencé à m'entraîner. J'ai un entraîneur privé, que je vois de deux à trois fois par semaine. Ce qui est le fun, c’est qu’on ne fait jamais la même chose. Une semaine, je peux demander de jouer au Pickleball, de faire de l’aérobie ou encore du Pilates. De cette façon, je ne me tanne jamais de bouger. Je vois vraiment une différence au niveau de mon énergie, physique et mentale.

Qu’est-ce que l’exercice t’apporte?

Durant toute la saison de Sucré salé, je suis tournée vers les autres. L’exercice me permet de me recentrer, de me retrouver. Je poursuis aussi mes rendez-vous chez le psy. Comme pour une auto qui a besoin de changements d’huile à tous les 5000 km, mon cerveau a besoin de faire le vide, pour mieux repartir.

Publicité

En terminant, on suit la carrière de ta fille Rosalie, qui est animatrice et comédienne. Mais qu’en est-il de ton fils Thomas?

Il étudie en musique électronique. Autant je connais bien le domaine dans lequel évolue ma fille, autant je ne connais rien au domaine de mon gars. C’est très insécurisant pour la maman que je suis, mais il excelle dans ce qu’il fait et il est heureux. C’est tout ce qui compte pour moi.

Comment ont réagi tes parents, à l’époque, lorsque tu leur as annoncé que tu te dirigeais vers une carrière artistique?

Ils n’étaient pas super chauds à l’idée; ils auraient préféré que je me dirige vers quelque chose de plus stable. J’ai fait à ma tête et je suis toujours là aujourd’hui. J’encourage donc mon gars à suivre sa passion. Je lui donne même un coup de main parfois, avec ses paroles de chansons en français. On n’écoute pas le même genre de musique, mais on a un point commun: l’amour des mots!

À voir aussi: 

Publicité
Publicité