Publicité
L'article provient de Le Journal de Montréal

«Révolution Les Étoiles» au Capitole: des danseurs dynamiques et spectaculaires dans un spectacle éclatant

Photo fournie par la production (crédit Mathieu Bélanger)
Partager
Photo portrait de Yves Leclerc, Agence QMI

Yves Leclerc, Agence QMI

2025-03-28T02:46:58Z
Partager

Les troupes Bad et Kidz du Studio Party Time et les sœurs Ophélie et Anne-Florence Bégin, tous de Québec, ont volé la vedette au spectacle Révolution Les Étoiles: l’ultime tournée, jeudi, au Capitole.

Un spectacle à grand déploiement avec du rythme, de la danse, des chorégraphies, beaucoup de musique, des éclairages spectaculaires et des moments «Révolution». Le Capitole était bien rempli pour la première de 15 représentations.

Une salle qui a réagi avec force lors des prestations offertes par les danseurs de Québec. Il faut dire que les parents et amis étaient nombreux dans la salle.

Et ça, on l’a senti tout au long de la soirée et surtout lors d’un nouveau numéro où des danseurs ont improvisé, un contre un, en face-à-face, au son d’une musique qu’ils ne connaissaient pas.

Trois juges, choisis parmi le public, sont montés sur les planches et ils ont favorisé, sans aucune gêne, les candidats de la Vieille Capitale.

Ophélie Bégin, de Québec, a soulevé le public et ses collègues danseurs lorsqu’elle a exécuté une série de 360 degrés sur un pied au son de Barracuda de Heart.

Photo fournie par la production (crédit Mathieu Bélanger)
Photo fournie par la production (crédit Mathieu Bélanger)

Yoherlandy Tejeiro Garcia, Yelda Del Carmen, Gabrielle Boudreau, Jordan Raymond, Sam Cyr, Sean Wathen et Santiago Santamaria-Correa étaient aussi de la partie.

Publicité

Lancés au son de la musique de La guerre des étoiles, avec des lumières projetées sur les murs, les danseurs ont livré un premier numéro de groupe avec la pièce Don’t Stop Me Now de Queen. Les sourires sont présents sur les visages des danseurs et c’est dynamique.

Une immense surface de projection, entourée de puissants projecteurs, pivote de toutes les façons au-dessus des danseurs et elle fait penser aux éclairages de la tournée The Game de Queen. Les éclairages d’Yves Aucoin sont fort réussis et spectaculaires.

Photo fournie par la production (crédit Mathieu Bélanger)
Photo fournie par la production (crédit Mathieu Bélanger)

Lors de la portion finale du spectacle, cette surface descend à quelques centimètres des danseurs, qui s’exécutent au son de Dream On d’Aerosmith, pour ensuite remonter et pivoter.

Les différents numéros des danseurs, entrecoupés de segments vidéo, sont courts, dépassant rarement les deux minutes. On en prendrait un peu plus parfois.

Yoherlandy et Yelda offrent un premier numéro qui sort du lot, avec des partitions musicales qui s’envolent, durant Hammers de Nils Frahm.

La jeune troupe Kidz, du Studio Party Time, lors d’un numéro consacré à la relève, a volé la vedette aux grands. Les neuf danseurs ont vécu un énorme moment «Québec» sur les planches.

Photo fournie par la production (crédit Mathieu Bélanger)
Photo fournie par la production (crédit Mathieu Bélanger)

Le segment «Shakespeare», avec l’introduction musicale de l’opéra Roméo et Juliette, était superbe visuellement. L’aspect grandiose de cette musique magnifiait le tout.

Des échelles, des chaises, des fauteuils, un meuble, une vieille voiture, des escaliers, des modules et même une station de métro font partie des éléments de scène.

Photo fournie par la production (crédit Mathieu Bélanger)
Photo fournie par la production (crédit Mathieu Bélanger)

À la toute fin du spectacle, les danseurs ont fait monter des spectateurs de tout âge sur scène, pour les accompagner pour quelques pas de danse. Un beau moment de folie fort sympathique. Du bon divertissement.

Publicité
Publicité