Une influenceuse aurait vécu l'enfer dans une prison de Dubaï

TVA Nouvelles d'après Daily Mail
Une populaire influenceuse britannique se souviendra longtemps de son séjour dans une prison de Dubaï, aux Émirats arabes unis, où elle avait été arrêtée pour des crimes reliés aux stupéfiants.
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Kaz Crossley, finaliste de la téléréalité Love Island en 2018, au Royaume-Uni, n’en était pas à sa première visite dans le pays ultraconservateur du Moyen-Orient.

En 2020, en pleine pandémie de COVID-19, plusieurs influenceurs avaient temporairement trouvé refuge aux Émirats arabes unis, où les restrictions sanitaires étaient moins sévères qu’en Europe. De son côté, elle affirmait être à Dubaï pour le «travail».
Deux ans plus tard, l’influenceuse était en route pour la Thaïlande pour une mission dans un organisme humanitaire de Phuket.

Lors de son escale à Abou Dabi, la capitale des Émirats, les douaniers émiratis l’attendaient de pied ferme pour la questionner sur une vidéo ayant récemment refait surface sur les médias sociaux.
L’extrait de quelques secondes la montre en train de consommer «une substance blanche inconnue», qui ressemble à de la cocaïne, drogue strictement interdite à la consommation.
Toute consommation de drogue est sévèrement réprimée dans le pays; les contrevenants à la loi risquent au moins trois ans de détention en plus d’amendes pouvant aller jusqu’à 30 000$, lors de leur première infraction.
Sa détention
Aussitôt arrêtée en raison de la vidéo compromettante, l’influenceuse a été transférée dans une prison de Dubaï, où elle affirme avoir vécu l’enfer.
On lui aurait refusé tout appel téléphonique avec ses proches, ce qui l’a grandement dérangée.
Quatre jours plus tard, l’influenceuse a rassuré ses quelque un million d’abonnés sur Instagram.
«Je suis en sécurité, merci pour tous vos messages. Je veux prendre un peu de temps pour réfléchir à ce qui me vient d’arriver (...)», a-t-elle écrit à sa sortie du pénitencier dans une image éphémère sur le réseau social.
Selon des sources proches de la femme, Crossley aurait été emprisonnée dans une grande cellule avec 30 femmes, non-climatisée, où la température aurait atteint les 30°C.