«Une fin très troublante»: la cheffe de cabinet de Trump revient sur les tensions avec Elon Musk
La cheffe de cabinet du président revient sur les tensions avec l'homme d'affaires
Agence QMI
La cheffe de cabinet de Donald Trump, Susie Wiles, ne comprend pas comment la relation entre le président américain et Elon Musk, a pu s’envenimer si rapidement au cours des dernières semaines.
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En entrevue avec le New York Post, Mme Wiles mentionne qu’elle a apprécié sa collaboration avec M. Musk.
«Le président a été très, très gentil avec lui, et Elon avait tellement de choses à nous offrir», indique-t-elle.
«Il savait des choses que nous ne savions pas. Il connaissait des gens et des technologies que nous ne connaissions pas. C’était super quand ça allait bien, mais il y a eu une fin très très troublante.»
«Je ne comprends pas»
Elle demeure perplexe au sujet des tensions qui ont mené le patron de Tesla à lancer son propre parti politique pour s’opposer à Donald Trump.
Elon Musk s’est notamment montré très critique du «One Big Beautiful Bill» du président, déplorant notamment l’importante augmentation du plafond de la dette.
Celui qui a été à la tête du département de l’Efficience gouvernementale (DOGE) s’était livré à une guerre de mots très publique dans son réseau social X contre le président, notamment en l’accusant de se trouver sur la «liste d’Epstein».
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«Je ne comprends pas, je ne sais pas», ajoute-t-elle.
«J’ai aimé travailler avec Elon. Je pense que c’est une personne fascinante qui voit le monde d’une différente façon. Je pense que c’est probablement ce que le président a vu aussi.»
Pas de la jalousie
Mme Wiles réfute l’idée que le divorce entre les deux hommes soit survenu pour des raisons de jalousie de la part de l’homme d’affaires sud-africain.
«Ça ne sonne pas comme quelque chose que ferait Elon», affirme-t-elle.
Les relations entre les deux hommes demeurent très tendues.
Après l’annonce de la création du «Parti de l’Amérique» par M. Musk, Donald Trump a d’ailleurs publié un long message dans son réseau social Truth Social, critiquant la démarche de son nouveau rival en la qualifiant de «ridicule».