Une femme accuse le masculiniste Andrew Tate de l’avoir brutalisée lors de relations sexuelles


Guillaume Picard
Le masculiniste Andrew Tate nie avoir brutalisé son ex-amie de cœur lors de leurs relations sexuelles.
Le controversé américain réfute ainsi les allégations de Bri Stern voulant qu’il l’ait violemment étranglée le 11 mars dernier au Beverly Hills Hotel. La présumée victime a porté plainte officiellement contre l’homme de 38 ans.

«Andrew Tate rejette catégoriquement cette allégation scandaleuse et engagera sans relâche des poursuites judiciaires contre toute personne impliquée dans la diffusion de ce mensonge flagrant», a indiqué à TMZ son équipe juridique.
TMZ a d’ailleurs obtenu des photos de Bri Stern.
«Une fois de plus, nous voyons les médias publier sans vergogne un récit partial, ignorant les faits les plus fondamentaux. Les photos? Elles n’ont pas été prises dans la salle de bain du Beverly Hills Hotel. Elles n’ont même pas été prises de nuit. Aucune trace de contusion. Aucune preuve.»
Selon l’entourage de Tate, cette histoire a été montée en épingle par une personne qui «s’est mise en colère contre lui lorsqu’il ne l’a pas emmenée à New York en jet privé».
TMZ, qui dit avoir obtenu des textos échangés par Tate et Stern, écrit que Bri Stern s’est rendue dans la Grosse Pomme pour un voyage d’affaires après les faits allégués datant du 11 mars. Elle s’est présentée aux urgences et a reçu un diagnostic de «post-commotion».
L’équipe de Tate a rejeté ces textos du revers de la main.
«Quant aux prétendus SMS, aucune vérification, aucune métadonnée, rien. À une époque où l’IA peut générer des conversations entières en quelques secondes, il est impressionnant de voir à quelle vitesse des captures d’écran non vérifiées deviennent des “preuves” lorsqu’elles concordent avec un récit.»