Un journaliste anglo-montréalais se plaint d’avoir dû stationner à deux rues de son hôtel et se fait ramasser

«Je suis allé rejoindre un ami de L.A. dans le Vieux-Montréal en auto pour manger. Après plein de détours, j’ai été obligé de me stationner à deux coins de rue, comme la rue de l’hôtel était fermée. Pourquoi est-ce que des touristes voudraient visiter le coin? Triste.» 

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C’est ce qu’a tweeté le journaliste d’expérience Leslie Roberts mercredi, dépassé par sa mauvaise expérience de marche dans le Vieux.

On ne sait pas exactement quel résultat celui qui est pourtant natif de Montréal visait avec ce gazouillis, mais en tout cas, il a provoqué une cascade de réactions moqueuses.

«Une fois j’ai conduit jusqu’à Venise pour rejoindre un ami de L.A., mais j’ai dû marcher 2,4km parce que la ville est fermée aux autos», a d’abord ironisé un internaute.

Ce à quoi le journaliste a été obligé de répondre. «Bon point.»

Voici une partie du reste de la cascade, traduite très librement par le Sac de chips: 

«Ben, stationne-toi, prends le métro et marche. Pourquoi tu t’attendais à te stationner devant la porte de l’hôtel?»

«Tu es allé dans le Vieux-Montréal en auto. C’est tu une parodie?»

«Marcher deux coins dans les rues magnifiques du Vieux-Montréal? Quel cauchemar!»

«C’est sûr que c’est de la satire, quelqu’un de Montréal qui choisit d’aller dans le Vieux en auto...»

Celle-ci n’a pas besoin de traduction: 

«2 coins de rue, j’espère que tu t’en es remis. Je ne peux imaginer les horreurs que tu as dû vivre.»

«Si tu ne peux pas marcher 2 coins de rue dans le Vieux-Montréal, comment vas-tu survivre?»

On salue Leslie Roberts qui a pris le temps de répondre gentiment à tout le monde et on espère qu’il n’est pas encore en train de marcher ses deux coins de rue.

De son côté, François Lambert ne semble pas encore avoir commenté la situation. Nous vous tiendrons au courant de la suite.